[francesco34] Mes critiques en 2011

[Scalp]

Le Flingueur ça par contre c'est sûr que je vais le voir

[Heatmann]

tres bien sympa ce mechanic un vrai pur film de hitman , pas vraiment bournien , c est bien encrer 90's

[zack_]

Celui là j'ai vu la BA ça m'a direct passé envie de voir le film.

Ouais le film est à l'image de la BA, si t'as pas ri, tu riras pas plus au film
Pourtant moi-aussi j'avais trouvé nulle la BA, mais bon, je me suis dit qu'il y avait quand même du potentiel vu l'auteur, bein non

A mon avis ca restera l'unique critique de ce film sur BoM pour longtemps

[pabelbaba]

Le Flingueur c'est un remake de The Mechanic avec Charles Bronson et Jan-Michael Vincent?

[zack_]

C'est exact

[Dunandan]

A bout portant
de Don Siegel (1964)

Deux tueurs à gages sans scrupules abattent un ancien pilote qui aurait participé à un mauvais coup. L’attitude étrange de celui-ci au moment de mourir (il se laisse faire) intrigue les tueurs qui vont enquêter afin de comprendre, et éventuellement mettre la main sur un gros pactole disparu…

Monté en flash-backs successifs qui adoptent les points de vue de différents narrateurs « interrogés » par les 2 tueurs (dont Lee Marvin, excellent comme toujours), le film développe une intrigue simple mais très efficace. Si on y retrouve les codes du film noir (avec femme fatale, gangsters et magot), le film finalement casse quelques peu ces codes par sa violence et sa réalisation nerveuse, et s’offre un premier pas vers les polars qu’on verra dans les 70’s (là on est en 64 seulement).
Après la surprise du format 4:3 (réalisation pour la télé à l’origine), le film a toutes les qualités d’un film cinéma, malgré quelques ratés techniques (les surrimpressions lors des scènes de pilotage, notamment la course en kart entre Cassavetes et Dickinson, assez hideuse).
Avec une floppée de comédiens assez brillants, Lee Marvin bien sûr, mais aussi John Cassavetes, Angie Dickison. Et même Ronald Reagan s'en sort pas mal.
Quelques petites anomalies scénaristiques de ci de là font se poser quelques questions, quand dans un flash-back sensé adopter le point de vue du narrateur de cette partie, on part sur des événements auxquels la personne n’a pas assisté et ne peut donc logiquement pas raconter…
Mais qu’importe, la qualité du dvd de Carlotta, et la réalisation enlevée assurent un bon moment.

7/10

[Scalp]

Oue la course en voiture c'est du lourd mais c'est bien le seul point technique où le film est attaquable.

[pabelbaba]

J'ai le souvenir d'une scène d'intro assez folle visuellement (quand Lee Marvin et son acolyte vont chercher Cassavetes). Dans le même genre, toujours de Donc Siegel, j'ai aussi bien aimé Tuez Charley Varrick! avec Walter Matthau et Joe Don Baker (avec une bonne interview de Corneau dans le DVD BAC film).

[Scalp]

Tient j'en profite pour passer un message, Charley Varrick je le cherche pas trop cher ( je le trouve que dans les 15 € )

[angel.heart]

À bout portant est quand-même bien plus nerveux que Charley Varrick ( que je trouve juste sympa ) et puis Lee Marvin y est très très classe!

[pabelbaba]

Les deux films ont un peu le même rythme : grosse intro, développement faussement pépère et grand final. Le côté chasse à l'homme m'a bien plu dans Charley Varrick, en plus il y a Andrew Robinson dedans (Scorpio de Dirty Harry).

[angel.heart]

Bon Scalp je suis d'humeur généreuse aujourd'hui, je t'échange mon Charley Varrick contre ton Green Snake.
MP pour les coordonnés!

[Scalp]

Bein si tu trouves un ( ou même 2 ) qui te plais sur mon topic de vente je veux bien échanger

[angel.heart]

À non moi c'était Green Snake ou rien!
Mais si tu veux j'ai "Simple mortel" à échanger, dvd très dure à trouver ( 119 euros sur amazon, 90 sur price ).

[francesco34]

Oue la course en voiture c'est du lourd mais c'est bien le seul point technique où le film est attaquable.

Oui pour le reste, à part le fait que c'est en 4:3, on dirait pas du tout un téléfilm...
D'ailleurs ça me semble archi-violent pour la télé américaine de l'époque
Rien que l'intro où Lee Marvin maltraite une femme aveugle, fallait oser!