Modérateur: Dunandan


osorojo a écrit:Ca va etre dead way je pense malheureusement![]()
Le truc c'est que quand tu écris et tu fais des prévisus d'une critique, rien n'est stocké en base, tout est passé via url donc c'est juste de la donnée temporaire, ce qui fait que tu paumes si tu vires la page :/ Quand tu enregistres le brouillon le message est stocké en base de données. Mais si tu ne l'as pas sauvé vu que tu l'as sup, à mon avis c'est tendu du slibard :/ Vu tes critiques, j'imagine comme ça doit te foutre les boules

Waylander a écrit:non mais là Resevoir j'étais entrain d'écrire la critique d'un coup la fenêtre firefox s'est fermée toute seule (je te jure) et pas moyen de retomber dessus malgré historique. Je retrouve bien ma page d'écriture mais elle est vide.







Waylander a écrit:osorojo a écrit:Ca va etre dead way je pense malheureusement![]()
Le truc c'est que quand tu écris et tu fais des prévisus d'une critique, rien n'est stocké en base, tout est passé via url donc c'est juste de la donnée temporaire, ce qui fait que tu paumes si tu vires la page :/ Quand tu enregistres le brouillon le message est stocké en base de données. Mais si tu ne l'as pas sauvé vu que tu l'as sup, à mon avis c'est tendu du slibard :/ Vu tes critiques, j'imagine comme ça doit te foutre les boules
Ah mais la critique je l'avais sauvegardée ne brouillon, ele était dans mes brouillons sauvegardés quoi mais j'ai bouffé je suis revenu j'ai voulu la poster j'ai supprimé parce que je pensais à autre chose et là j'ai réalisé la connerie.


Heatmann a écrit:je suis le seul a ecrire mes critique tranquille dans un fichier Words et qui les copi/colle apres sur le forum ???
moi j fait toujour comme ca, j ouvre un ficher words et pis j ecri au fur et a mesure, defois quelque ligne pis y revient apres mettre gratter les couille ect.. je souvegarde apres chaque 2 ligneet hop quand j ai tout , je la copie dans le fofo , ajoute de photo et hop je poste ..


apparemment les admin des forums peuvent pratiquer le "backup" à une date donnée, une heure donnée etc00..et quand on fait ça le forum revient totalement à ce que chacun avaient enregistrés à ce moment précis mais pour ne rien perdre faut refaire un backup pur revenir au moment présent. du Zemeckis quoi. C'est possible ça Zack?
je suis le seul a ecrire mes critique tranquille dans un fichier Words


Avec un premier film indépendant aussi novateur, Tarantino ne pouvait que devenir ce qu'il est aujourd'hui : une icône culte pour toute une génération de cinéphiles et de nouveaux réalisateurs, tous influencés et bercés par la même culture ou sous-culture. Le mythe entourant ce jeune cinéaste qui n'est pas passé par la case école de cinéma prend son ampleur dès la distribution de Reservoir Dogs, référentiel et bourré d'idées et de clins d'œils dont la patte artistique vraiment originale pour le genre et pour le Cinéma (ce qui est rare en soit) se permet de multiples plans-séquences à la fois caméra à l'épaule ou posé. Loin de sur-découpé son film, Tarantino prend son temps, assure une sobriété élégante, et s'amuse avec les codes de plusieurs genres (action, polar, policier, noir, thriller) en y apposant son style dès l’ouverture du film : les chapitres , l'utilisation des chansons des 70's et de la ovi-off du présentateur de radio qui annonce les titres, dialogues cultes et naturels qui n'ont d'égal que le talent monstre des acteurs.L’originalité du scénario repose essentiellement sur le bouleversement des conventions et, en ce sens, le film fait penser à La Horde sauvage de Sam Peckinpah pour leur façon de laisser les gentils de coté et de mettre les hors la loi au centre de l'intrigue. Le reste prouve que le Cinéma peut tout se permettre : QT et son ambition de départ resteront à jamais dans les mémoires malgré un style qui devient redondant où Tarantino se regarde filmer et revendique trop directement sa culture. Avec Reservoir Dogs, tout est mesuré, simple mais choc. il manque toutefois à son premier film une dimension plus épique que possèdera quelques années plus tard Pulp Fiction.
L'intrigue est simple, non-linéaire (formellement c'est aussi dans sa structure que le film gagne en fraicheur : les flash-back donnent du relief au perso mais le tout reste basique, sans aller chercher bien loin. c'est aussi une des forces du film : en peu de temps, avec une réalisation finalement très épurée ) et l’ambiance est un pour huit-clos viscéral et violent les 3/4 du film.Les hommes en costumes ne connaissent pas (ou pas tous) mais QT , en un temps tout de même limité (1h30), développe ses protagonistes par une quantité de dialogues surprenantes. Là où tout le monde s'attendait à un long-métrage nerveux avec fusilles et gunfights, QT délivre une œuvre novatrice où le climax le plus important du film ne sera même pas montré : le braquage. Il est raté, pas besoin de le mettre en scène, ce qui importe c'est la descente aux enfers des survivants qui tous, un par un, vont passer d'un calme rassurant à une colère et une tension palpable , ultra violente (beaucoup de sang, une torture réaliste et toute la violence du film névrosé est tournée avec ingéniosité puisque QT se permet des hors-champs "censure" alors que le plan suivant on découvre finalement la blessure en gros plans , plein de sang sur le sol, sur le visage de la victime etc...et l'oreille dans la main Mr. Yellow...c'est clair, le cinéaste tend un gros FUCK aux règles. 1er film, 1ère claque, du jamais vu ou presque tant Reservoir Dogs ne mix que des éléments déjà présents ailleurs.
Pour son incursion dans le 7 ème Art Tarantino s'entoure d'un panel d'acteurs bien cools (Keitel sur une première œuvre ça aide à ouvrir des portes) avec lesquels il signe presque un film de potes au twist sur lequel ne repose pas intégralement le scénario. C'est pas le but du tout et ce film peut se revoir avec plaisir même en connaissant le dénouement tant la mise en scène soignée et bien pensée se permet un langage cinématographique assez riche mais à la fluidité instaurant une efficacité "simple", sans gimmick clipesque ou sur-découpage lors de fusillades et gunfights très minimalistes qui vont droit au but mais font leur effet (on pense à du John Woo pour les flingues et LE plan du film :
Les personnages sont à la fois traités comme de grands ados (les débats geeks, le combat amicale de Penn et Madsen, les engueulades et la manque de responsabilité (la planque aurait pu être perdue et isolée , en fait, grâce au plan-séquence de Madsen qui va chercher l'essence on voit qu'il sont juste ne face d'une résidence pavillonnaire..) et des chiens que l'on enferme ensemble et qui finissent par se foutre sur la gueule malgré l’amitié de longue date qu'entretiennent certains. On les voit aussi comem des criminels faillibles : Buscemi est un lâche, Keitel névrosé, Madsen psychopathe, Blue est un vieux qui crève hors-champ, tout le monde se moque de lui, on l'a même entendu qu’une fois... et le seul perosnnage intègre, le flic infiltré, se fait tirer dessus par une civile qu'il bute à son tour... Ultraviolent (pas gore pour autant) le premier film du réalisateur de Pulp Fiction ne fait aucune concession même lors de son final très intense en un plan-séquence tralelling avant sur les deux acteurs principaux du film :
| Film: Reservoir Dogs Note: 8/10 Auteur: Velvet |
Film: Reservoir Dogs Note: 9,5/10 Auteur: Pathfinder |
Film: Reservoir Dogs Note: 8,5/10 Auteur: Nulladies |
Film: Reservoir Dogs Note: 9,5/10 Auteur: Alegas |
Film: Reservoir Dogs Note: 8/10 Auteur: elpingos |








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