[Jack Spret] Mes critiques en 2013

Modérateur: Dunandan

Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Jeu 17 Jan 2013, 11:23

Souvent généreux ? :lol:
J'avoue que j'ai hésité entre un 7 et un 8 mais ce qui me gène dans The Reef, c'est ce côté one shot.
A la revoyure, si j'avais mis 8, j'aurais certainement baissé du coup je préfère lui coller un 7 intemporel mais qui vaut ce qu'il vaut.


"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ?
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Foxy Brown - 5/10

Messagepar Jack Spret » Jeu 17 Jan 2013, 19:29

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On passera outre le choix douteux du nom du personnage.


Navet s'il en est, Foxy Brown a quelque chose de charmeur. Ayant un niveau amateur en terme de blaxploitation (en français, la traite des Noirs), je ne peux pas faire de correspondances entre tout ce qui a été sorti dans le genre (je n'ai vu que certains Shaft et deux ou trois autres péloches). Mais ce qui saute aux yeux, c'est cette capacité à faire rire avec un niveau de violence très élevé. Est-ce parce que c'est mauvais ou est-ce une marque de fabrique ? Quelqu'un de plus calé sur le sujet saura peut être me répondre mais en tout cas, j'avais l'impression de voir une comédie qui se prenait au sérieux.

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Les gros plans étaient proscrit à l'époque si on voulait que toute la chevelure soit dans le champ.


Ne nous leurrons pas, Pam Grier a fait carrière dans ce genre de films à cause de sa monumentale poitrine. On peut lui trouver du charme et un talent indéniable pour lever la jambe en toutes circonstances (le générique d'intro vaut son pesant de cacahuètes) mais l'atout phare du film (si je peux utiliser cette puérile métaphore), ce sont ses formes généreuses. La morale prend congés dans Foxy Brown avec des flics tous pourris, des dealers et des macs qui ont la main mise sur la ville et des femmes qui ne servent que de chair humaine à des politicards avinés assoiffés d'orgies lubriques.

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Pierre...Papier...Ciseau !


La bande originale est principalement composée de musiques disco qui filent une banane d'enfer, les acteurs balancent des insanités du soir au matin et le sexe mène à tout, même au pouvoir. Les 70's, une époque bénie pour tout amateur de nanar burnés, où les femmes ont des couilles et les mecs s'en prennent plein la gueule. Pas féministe pour un sou mais clairement anti-machiste, Foxy Brown est le type de film à cacher aux yeux de sa petite amie sous peine de castration imminente.

5/10

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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar pabelbaba » Jeu 17 Jan 2013, 19:32

Ca va pas du tout là! :evil: Encore on peut trouver Coffy un peu mou du genou, mais Foxy Brown, ça bastonne bien et ça radine pas sur les boobs!

7 mini. 8)
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Jeu 17 Jan 2013, 19:34

Ah mais justement, j'ai mon véto sur la qualité de ma note.
Je dis au tout début que j'ai vu très peu de blax', et ce Coffy doit traîner sur une de mes étagères mais je l'ai toujours pas vu.
Quoi qu'il en soit, je ne pense pas que j'augmenterai celui là parce qu'il y a des boobs.
Si j'veux en voir, je mate un porno :mrgreen:


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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar angel.heart » Jeu 17 Jan 2013, 19:36

pabelbaba a écrit:Ca va pas du tout là! :evil: Encore on peut trouver Coffy un peu mou du genou, mais Foxy Brown, ça bastonne bien et ça radine pas sur les boobs!

7 mini. 8)


Tout pareil.
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Mark Chopper » Jeu 17 Jan 2013, 19:36

Nan mais la blax', en 5 films tu as fait le tour et tu as compris que c'était mauvais :mrgreen:
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar pabelbaba » Jeu 17 Jan 2013, 19:38

Je crois que c'est une des premiers blax que j'ai vu. Mais le niveau ne s'arrange pas avec le reste. Surtout si le perso principal est féminin, Les Cleopatra Jones te feront marrer aussi.
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar angel.heart » Jeu 17 Jan 2013, 19:40

Mouais... C'est quand-même pas la joie les Cleopatra Jones.

Mais ça reste du haut de game pour le "genre". :mrgreen:
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Jeu 17 Jan 2013, 19:42

Ouf angel tu me sauves, j'ai Dynamite Jones à voir :mrgreen:


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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar pabelbaba » Jeu 17 Jan 2013, 19:44

J'aime bien le 2 qui se passe à HK, mais bon voilà... c'est toujours mieux qu'un Black Samouraï ou un Slaughter! :mrgreen:
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar angel.heart » Jeu 17 Jan 2013, 19:51

Quel genre de merde n'empêche!.. :eheh: :mrgreen:

Il m'en reste une dizaine à mater, j'y vais doucement... ( The mack dans le lot, peut-être une bonne surprise?... )
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Scalp » Jeu 17 Jan 2013, 20:25

Coffy c'est cool quand même, pis Truck Turner ça défonce bien.
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Cité sans Voiles (La) - 7,5/10

Messagepar Jack Spret » Sam 19 Jan 2013, 12:49

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Un pilier fondateur du genre qui aurait pu être meilleur.


La cité sans voiles a grandement contribué à l'image que l'on se fait du polar de nos jours. Auparavant, tous les films noirs étaient intégralement tournés en studios, hormis certaines scènes de films de gangsters qui nécessitaient de filmer des extérieurs, notamment lors des poursuites véhiculées. Jules Dassin pousse le réalisme à son paroxysme avec une volonté d'illuminer d'une aura quasi documentaire ce genre confiné aux limites de quatre murs. Longtemps théâtralisé (peu de personnages et lieu de l'action souvent unique), le cinéaste explose le carcan et libère le genre, trouvant dans La cité sans voiles une manière de dépeindre certains maux de la société, en plus de permettre une inspiration décuplée.

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Barry Fitzgerald bouffe l'écran à chaque apparition.


Mais cet aspect documentaire domine sur l'impact du procédé, la faute à une voix off aux limite de l'insupportable (on se croirait chez Woody Allen). Elle nous décrit absolument tout ce que l'on voit à l'écran, alors que les images, passées sous silence ou agrémentées d'une musique dans l'air du temps, aurait pu faire cent fois mieux le travail. Un élément regrettable qui plombe l'ambiance noire du projet et nous rappelle sans cesse que l'on a à faire à un nouveau genre de film. Une sorte de fausse modestie mal assumée qui fait la part belle au producteur au détriment de l'inventivité artistique de Dassin.

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La violence prend le grand air et s'empare de la vie New-Yorkaise.


L'ambition du cinéaste de vouloir faire partager au public la vie et le quotidien des New-Yorkais, allié à une intrigue policière correcte, est bafouée par un Hollywood castrateur qui préfère rester sur ces acquis, le film étant principalement composé d'intérieurs. Par chance, la poursuite finale, qui vaut à elle seul le visionnage du film, permet à La cité sans voiles d'être revu à la hausse et d’entrer dans le panthéon du film noir par sa sécheresse, sa brutalité et son rythme percutant. Une conclusion qui ne laisse présager rien de bon pour ceux qui se mettent la justice à dos.

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On n'échappe pas au cliché de la victime: jeune, jolie et blonde.


En se promenant par mi des milliers d’inconnus filmés malgré eux, l’effervescence qui habite les rues et ruelles de New-York est propice au traitement choc des images. Les badauds, tour à tour surpris et curieux, participent à leur insu à la réussite du film en administrant une dose non négligeable de réalisme pur. Les effets de foule font passer le tournage pour sauvage et le cadrage millimétré de certaines scènes (la majeure partie des idées géniales du script étant en dernière bobine). Un effet contradictoire qui apporte un certain cachet non négligeable au film, plongé entre le souci du détail et l’urgence des scènes filmées à l’extérieur.

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Le noir et blanc renforce l'aspect tentaculaire de la ville.


Il est regrettable que La cité sans voiles ne puisse pas aller jusqu’au bout de son idée afin d’explorer une nouvelle méthode de travail et un nouveau traitement du genre. Cependant, on ne pourra pas nier que ce film a ouvert la porte à de nombreux autres cinéastes, peut être plus talentueux, mais qui n’aurait jamais pu tenter de mettre la ville à nue jusqu’au point que le spectateur en devienne voyeuriste (la caméra qui passe par la fenêtre pour filmer le meurtre) et se permette une lecture personnelle de l’action et de l’intrigue, chose impossible lorsque le décor unique ne permet aucune improvisation.

7,5/10

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Django Unchained - 8,5/10

Messagepar Jack Spret » Sam 19 Jan 2013, 15:59

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Le meilleur film de Quentin Tarantino ?


On l'avait remarqué depuis quelques temps: Quentin Tarantino a mûri. Aussi bien dans son écriture que dans sa manière de "piller" sa culture cinématographique. Plaçant ses personnages sur le devant sa mise en scène, l'aspect nombriliste de certaines de ses oeuvres est remplacée par une simili sagesse où amour du cinéma et talent de conteur n'auront jamais été aussi bien mixés (Jackie Brown mis à part, étant donné qu'il ne s'agit pas d'un scénario original). D'une patience rare (le plaisir de raconter la quête vengeresse de Django est loin devant la violence esthétique), Django Unchained rappelle les bons moment passés devant Kill Bill, deuxième du nom, y compris dans la scène au coin du feu, où les deux protagonistes échangent leur vision du monde autour d'anecdotes personnelles et de légendes urbaines.

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Jamie Foxx est charismatique et supporte bien le poids de son personnage.


Mais il serait réducteur de comparer ces deux oeuvres, uniquement reliés par le genre avec lequel il flirte plus ou moins: le western. Vouant un amour sans bornes au cinéma spaghetti et plus particulièrement à son instigateur le plus renommé Sergio Leone, Tarantino nous gratifie d'un western sur fond d'esclavagisme. Et quoi de plus percutant comme idée de choisir un personnage à la peau noire pour incarner son modèle de héros, faisant un clin d'oeil discret à Franco Nero qui dessoudait du Sudiste à la Gatling dans Django, premier du nom. Hommage discret ou volonté d'en finir avec ce melting-pot cinéphilique qui est devenu sa marque de fabrique ? On pourrait croire que le cinéaste a réellement évolué et trouvé sa voie tant sa première partie (la vengeance) est un summum d'écriture, de mise en scène et de maturité.

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Le duo d'acteurs est fusionnel et ça se ressent à l'écran.


Moins ronflant et voyant que ses films précédents, Django Unchained cherche avant tout à emmener le spectateur au confins du Texas, lui faire ressentir le froid, le sang et la poussière qui se dépose sur les lèvres de Jamie Foxx et Christoph Waltz, ce dernier ayant du mal à sortir du personnage incarné dans Inglourious Basterds, le cruel colonel Hans Landa, dont la verve singulière propre à l'acteur n'échappe pas à la redite. S'affranchissant du côté spectaculaire afin de développer petit à petit ses personnages (sur 2h45 de temps, il a le temps), Tarantino n'oublie jamais ce que le spectateur est venu recherché: une oeuvre bavarde, aux punchlines acérées et aux dialogues finement ciselés, le tout agrémenté d'une touche de fun et de révérence.

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Certaines scènes prêtent à sourire, au détriment de l'intensité du scénario.


Comme s'il s'était contenu depuis le début, il laisse éclater ses caprices d'enfant gâté en deuxième partie du film (le sauvetage). L'apparition fortuite du réalisateur dans le film est inutile car son jeu d'acteur le ridiculise d'autant plus que son personnage est mineur et ne lui permet uniquement qu'à flatter son ego (c'était déjà le cas dans ses précédents films). D'autre part, la violence stylisée, justifié la plupart du temps par l'époque dépeinte, les moeurs locales et le comportement particulièrement cruels des personnages, se vautre dans la gratuité méchante lors de certains passages n'amenant que très peu d'eau au moulin du scénario (la mort sanglante de d'Artagnan ne permet-elle que de faire un jeu sur Alexandre Dumas ?). Et même si elle est aussi jubilatoire que la mise en scène est intense, la fusillade de Candyland n'est-elle pas présente pour survolter le spectateur, par peur de l'ennuyer ?

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C'est insuffisant de se reposer sur ses acquis, aussi solides soient-ils...


Une grande part de la seconde moitié est due au repas d'affaires entre les différents personnages. Tel un peintre sous acide, créant des personnages caricaturaux pour les perdre dans des circonvolutions, Tarantino parvient tout de même à les faire vivre sous la forme de miroirs grossissants: Leonardo DiCaprio ne désirerait-il pas ressembler ardemment au dandy européen qu'incarne Christoph Waltz, lui qui n'a que la richesse et le respect de ses pairs alors que l'autre a la prestance et la classe ? Samuel L. Jackson ne jalouse-t-il pas le statut de Jamie Foxx qui est parvenu à se ranger du côté des Blancs, sans servilité, jusqu'à en être devenu son égal ? En bien comme en mal, les deux duos se répondent constamment sous un feu nourri de répliques intelligentes et piquantes. Mais comme si la force de ses dialogues ne suffisait pas, le cinéaste mutile la clé de voûte de son film pour livrer la dose manquante de spectaculaire, le sang (en abondance), les zooms et les insultes anéantissant d'un trait la tension: une explosion de violence contenue qui range Django Unchained dans la catégorie de ses autres films.

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Le cotât d'ultra violence Tarantinesque est respecté.


Tarantino fera-t-il donc encore et toujours du Tarantino ? Du moment qu'il le fait avec toute la bonne volonté du monde, avec un talent de mise en scène aussi exceptionnel, avec un amour des genres qu'il côtoie aussi fusionnel, avec un éclectisme musical aussi surprenant que revigorant (on a rarement l'occasion d'entendre du rap dans un western), on ne pourra jamais lui en vouloir. Loin de chercher à nous inculquer des valeurs morales ou une quelconque notion de l'esclavage, le côté décérébré de Django Unchained est clairement la clef de voûte de la réussite. Usant d'un cynisme hors pair (faire d'un Noir la pire ordure pro-Blanc force le respect), Tarantino s'inscrit une fois de plus dans les annales du cinéma agréable et décomplexé, qui dynamite les conventions à coups de Winchesters et de TNT.

8,5/10

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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Scalp » Sam 19 Jan 2013, 16:02

Tu trouves vraiment que les 2 moitiés ne se valent en écriture ? pour moi c'est vraiment kif kif, limite je trouve même la seconde partie un poil supérieur.
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