#Réalisateur# Stanley KUBRICK

Les débats sur les réalisateurs, les producteurs, les acteurs...

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#Réalisateur# Stanley KUBRICK

Messagepar Solodzo. » Ven 01 Déc 2006, 21:52

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Issu d'une famille juive new-yorkaise, Stanley Kubrick grandit dans le Bronx. Son père, Jack, médecin de son état, se passionne pour la photographie, passion contagieuse qu'il transmet à son fils. Au point que ce dernier est engagé à 17 ans par le magazine Look, et en devient le plus jeune photographe-reporter. Quatre années plus tard il réalise à la suite d'un reportage photo sur le boxeur Walter Cartier son premier film, un court-métrage documentaire intitulé The Day of The Fight, et démissionne de son poste pour se consacrer à la réalisation.

Après quelques courts, il s'attelle en 1953 à son premier long-métrage, Fear and desire, financé en grande partie par son oncle, et qu'il désavouera plus tard, en interdisant sa projection. Il y cumule les fonctions de réalisateur, producteur, monteur, directeur photo, opérateur, et se charge même en personne du tirage des copies, manifestant précocément le besoin de contrôler chaque aspect de ses films, depuis leur genèse jusqu'à leur distribution. Ce penchant, qui ne se reniera jamais, lui vaudra tout au long de sa carrière une réputation d'intransigeance et de perfectionnisme forcené, voire d'autoritarisme.

Sa brusquerie avec certains acteurs, ou ses relations parfois orageuses avec ses co-scénaristes -souvent auteurs du livre adapté-, si elles fondent sa légende, tendent cependant à réduire à ce seul trait la personnalité complexe d'un homme dont beaucoup de témoins ont souligné l'affabilité. Parfaite victime expiatoire de cette dualité, Malcolm McDowell, qui affirmera plus tard son étonnement quant à la façon dont Kubrick l'expédia après Orange mécanique, ne lui donnant plus de nouvelles, alors que leurs relations avaient été très amicales sur le tournage.

Suivront Le Baiser du tueur et L' Ultime razzia, film noir qui marque sa première collaboration avec Sterling Hayden. Il le retrouvera pour Docteur Folamour, fable excentrique et apocalyptique où Kubrick laisse libre cours au génie comique de Peter Sellers. Celui-ci campe également le personnage de Clare Quilty dans l'adaptation du roman de Vladimir Nabokov, Lolita.

Rare sont les acteurs qui peuvent ainsi s'enorgueillir d'avoir participé à différents projets du maître. Kirk Douglas est l'un d'eux. En 1957 Kubrick le met en scène dans Les Sentiers de la gloire, oeuvre sombre et subversive qui prend pour cadre les tranchées de la Première Guerre mondiale, et pour sujet l'exécution de trois soldats français, fusillés à titre d'exemple, parce que leurs compagnies ont battu en retraite, ne pouvant s'emparer d'une position ennemie. Considéré comme le premier film majeur du cinéaste, il stigmatise le mépris pour la vie humaine d'une hiérarchie militaire dévoyée, et ne sortira en France qu'en 1975, non parce qu'il fut officiellement interdit, mais parce qu'il fut même jugé inutile de le présenter à la censure.
Orange mécanique, connaîtra un sort analogue en Angleterre, après que les critiques fustigeant la violence du film, et surtout l'apparition de crimes s'en inspirant eurent contraint Kubrick à le retirer de l'affiche, en 1974.

Après la réussite de leur premier travail en commun, Kirk Douglas demande en 1959 à Kubrick de remplacer Anthony Mann aux commandes de Spartacus, qui fera date dans l'histoire du péplum, mais ne satisfait pas son auteur. Réalisateur éclectique, Kubrick expérimente tous les genres, même le western, puisqu'il est un temps impliqué dans le projet de La Vengeance aux deux visages avec Marlon Brando, avant d'être indélicatement éjecté par ce dernier, qui tenait à en assurer lui-même la réalisation.
Toutefois, quelle que soit la nature des entreprises, et leur variété, plusieurs constantes parcourent son oeuvre : utilisation intensive de thèmes musicaux classiques ou contemporains, attention portée au travail de l'image et de la lumière, fréquentes adaptations d'oeuvres littéraires, et surtout, un investissement total et une exigence extrême qui expliquent la parcimonie de plus en plus accentuée avec laquelle il livrera ses oeuvres au public. 12 ans se passeront ainsi entre Full metal jacket, récit macabre en deux temps de l'expérience de jeunes gens appelés à combattre au Vietnam, et son dernier opus, Eyes wide shut, adaptation d'un court roman d'Arthur Schnitzler.

Les années 60-70 sont pour lui les plus prolifiques. 2001 : l'odyssée de l'espace, peut-être son projet le plus ambitieux, l'imposera définitivement comme l'un des cinéastes majeurs du XXème siècle, aux côtés d'Orson Welles et Max Ophüls, deux de ses références. Il innove avec -entre autres- Barry Lyndon, fresque historique entièrement filmée à la lumière naturelle et à celle des bougies, qui déroule sur l'écran une succession de tableaux.
En 1980, son adaptation de Shining, le livre de Stephen King, avec un Jack Nicholson halluciné, marque sa première et magistrale incursion dans le film fantastique à tendance horrifique, et clôt cette période. Une nouvelle fois, il s'y démarque par l'utilisation novatrice de la steadycam. Au fil des ans, Kubrick, qui s'est expatrié en Angleterre depuis l'époque de Lolita, se fait de plus en plus rare, et ses oeuvres également.
Après avoir dirigé dans son dernier film le couple vedette Tom Cruise-Nicole Kidman, il s'éteint avant d'avoir eu le temps d'entamer un nouveau projet, dont il comptait déléguer la réalisation à Steven Spielberg, pour s'assigner le rôle de producteur. Le réalisateur d'E.T. l'extraterrestre poursuivra sans lui, et lui rendra une forme d'hommage posthume à travers l'inabouti A.I. Intelligence artificielle.





Filmographie :

1953 : Fear and Desire
1955 : Le Baiser du Tueur (Killer's Kiss)
1956 : L'Ultime Razzia (The Killing)
1957 : Les Sentiers de la Gloire (Paths of Glory)
1960 : Spartacus
1962 : Lolita
1964 : Docteur Folamour (Dr. Strangelove or: How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb)
1968 : 2001, l'Odyssée de l'Espace (2001, A Space Odyssey)
1971 : Orange Mécanique (A Clockwork Orange)
1975 : Barry Lyndon
1980 : Shining (The Shining)
1987 : Full Metal Jacket
1999 : Eyes Wide Shut



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Solodzo.
 

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Messagepar FrF.Kmeron » Ven 01 Déc 2006, 23:01

Fût un temps (pas si lointain) ou je n'étais qu'un jeune adolescent qui aimais le cinéma, mais ne disposant pas de moyen énormes avait une DVDthèque proche de celle d'un ado quoi...

Et pendant ce temps, je me demandais comment on pouvait autant aduler un réalisateur que je ne connaissais que de nom... Kubrick (qui a cette époque là me faisait plus penser à une nouvelle forme de Rubik's Cube qu'autre chose... lol)..

et un jour est sorti le coffret 6 films de Kubrick à 600 francs... et là... wowww...

alors oui, autant je me disais que c t de l'inteligentia à la Cahiers du Cinéma et autre Inrockuptibles qui voyait encore un réal comme le maitre absolu alors que moi je n'y voyais que de la branlet** intellectuelle post nouvelle vague... et ben non... je me suis regardé les films.. captivé, envouté par tant de différences de thème (loin du ronron comme quoi les réals faisaient encore et toujours les memes films...) dans la réalisation, dans le perfectionnisme, alors oui, pour une fois, j'étais d'accord et m'accordait à dire que j'avais vécu des grds moments de cinéma, et que c'était pour cela que j'adorais le cinéma....

J'en reste encore bouche béé, même si je n'ai pas tout vu de lui (ces premiers en fait), je pense qu'il y a largement de quoi discuter, cette vision du monde (qd on y pense, aucune fin de ces films n'est vraiment gaies... bien au contraire.... ce qui m'amène a me demander comment il aurait pu participer à A.I. avec une fin comme ca, mais on ne le saura jamais......)

Bref, tout est subjectif, mais je dirais un grand, tout simplement!!!
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Messagepar Solodzo » Sam 02 Déc 2006, 17:58

Ce que je trouve dommage, c'est qu'il n'ait jamais eu de reconnaissance de ses paires, et pourtant 2001, Barry Lyndon, sont quand même des monuments du cinéma.

Et quand je vois collision avoir un oscar du meilleur film alors qu'aucun Kubrick n'a eu ce prix on se dit que quelque chose ne va pas.

Je remets ici les critique que j'avais faite sur feu l'ancien forum:


2001, L’odyssée de l’espace 10/10 :

Kubrick nous offre ici un film hypnotique, déroutant et incroyablement fascinant.

2001, l’odyssée de l’espace est un tournant dans le monde de la SF, Kubrick révolutionne le style, il le transcende. C’est un film essentiel pour qui aime la Science fiction.

Son "2001 L'odyssée de l'espace" nous bouleverse par la limpidité de ses images, sa musique grandiose et ses silences pesants.

Stanley Kubrick, signe là, un film difficilement abordable mais formellement très beau et très énigmatique.

Le spectateur est plongé dans le film et reste fasciné par le classe qui s’en dégage et qui fait de 2001, l’une des plus grandes œuvres cinématographiques de l’histoire du cinéma

Quoi qu'il en soit, le film se termine de façon très mystérieuse et invite le spectateur à s'interroger sur son sens profond.

Philosophique, intelligent, captivant et totalement inclassable, ce poème visuel bouleverse, intrigue et peu déranger, mais n'en demeure pas moins un chef d'oeuvre.





Barry Lyndon :

C’est l’apothéose de Kubrick, le summum de sa carrière sûrement à égalité avec 2001, tout est sublime dans ce film, tout n’est qu’œuvre d’art.

Kubrick nous offre dans film toute sa vision du monde ,des hommes, de la société à travers la vie de Redmond Barry.

Ce personnage c’est l’anti héro par excellence, anti héro car profondément humain, il sait être gentil et cruel, émouvant mais aussi opportuniste, rempli de contradictions. Redmond Barry est un personnage complexe.

Tout au long du film on suivra passionnément ce personnage dans son apprentissage de la vie, guidé par la maîtrise cinématographique de Kubrick qui nous scotch au fauteuil tellement la beauté du film est éclatante et l’histoire émouvante.

Kubrick nous offre une fois encore des scènes mémorables, comme la scène de séduction entre Redmond Barry et Lady Lyndon ou encore cette scène finale de Lady Lyndon les yeux plongés dans le vide d’une intensité et d’une émotion rare, tout le talent de Kubrick est présent dans cette scène et distillé tout au long du film.

Malgré l’aspect dramatique de l’histoire, Barry Lyndon ne tombe jamais dans le pathos, dans le larmoyant bien aidé en cela par un voix off toujours utilisée à bonne escient et qui donne un plus à la narration.
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Messagepar Johtaro » Mer 26 Déc 2007, 23:37

je viens de revoir 2001 et franchement ce film n'a pas pris une seul ride... tous simplement énorme...
Rien que la séquence d'ouverture me fais avoir la chaire de poule.

Stanley tu me manque... :cry:
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Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar zack_ » Mer 14 Avr 2010, 17:12

Il faut croire que rien n'arrête Stanley Kubrick, même pas la mort ! Un script perdu intitulé Lunatic at large a refait surface et ce sont maintenant les co-stars d'Iron Man 2, Scarlett Johansson et Sam Rockwell qui sont attachées au projet. Si l'on en croit The Playlist, le scénario perdu aurait été retrouvé parmi le monceau d'archives du réalisateur après sa mort en 1999. Basé sur un roman pulp de l'écrivain Jim Thompson (également l'auteur des Sentiers de la gloire), le script a été complété par Stephen Clarke.

Le New-York times avait révélé en 2006 des éléments de l'histoire.

C'est un genre de mystère sombre et surprenant dans lequel la plus grande question demeure qui, parmi plusieurs candidats plausibles, s'est réellement échappé d'un asile psychiatrique. La scène clé est un carnaval nocturne dans lequel Joyce, perdu et apeuré, se balade et rencontre un cirque de freaks bien connus : l'Homme alligator, la femme à tête de mulet, une naine mi-femme mi-singe, l'imbécile avec la tête pleine de clous.

Heureusement, les responsables du script ont «résisté à la tentation de le mettre à jour ». Pour le moment, personne ne sait pour sûr qui héritera de la tâche monumentale de la réalisation. En 2006, c'est le compositeur Christopher Palmer qui était attaché au projet, ce serait la première fois qu'il réalise un film. Un débutant pour un tel projet, pas sûr que ce soit la meilleure chose !

Aucun mot n'a été donné sur les rôles que joueraient Rockwell et Johannson. En tout cas une chose est sûre c'est que Scarlett ne devrait pas interpréter la naine singe, à moins que ce soit une guenon humanoïde dangereusement canon !

source: E-L
zack_
 

Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar francesco34 » Sam 01 Mai 2010, 09:56

C'est bizarre mais Kubrick est un réal qui ne m'a jamais vraiment accroché.
Même si je reconnais volontiers beaucoup d'excellence dans sa réalisation je reste souvent extérieur à ses films.

2001: je l'ai pourtant vu plusieurs fois (dont encore il y a quelques mois en blu-ray: image somptueuse), il a un côté fascinant et hypnotique, tout en ayant un côté ennuyeux.
Lolita: l'adaptation, même si Nabokov lui-même y a participé, est trop édulcorée par rapport au roman. Kubrick a dit que pour l'époque c'était ce qu'il pouvait faire de plus "osé".
Les sentiers de la gloire: j'en garde un lointain souvenir, dur de me prononcer.
Docteur Folamour: là rien à redire, c'est excellent de bout en bout.
Orange mécanique: j'ai détesté, j'ai trouvé ça surfait, surjoué, artificiel, poussif... et ça a très mal vieilli.
Barry Lindon: la grande classe, visuellement sublime.
Shining: vu plusieurs fois, j'aime moyennement, Nicholson m'ennuie, Shelley Duvall est insuportable, la mise en scène a un certain côté pédant ou prétentieux (Kubrick déclarait lui-même réaliser le film d'horreur ultime, rien que ça). Le bouquin est cent fois mieux. Reste quand même quelques grandes scènes dans ce film.
Full metal jacket: vu une seule fois à sa sortie j'étais ado, j'ai détesté.
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Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar Waylander » Sam 01 Mai 2010, 10:19

Full metal Jacket: à part la première partie avec Baline le rste j'ai déjà oublié.
2001 a space odyssey: un chef d'oeuvre. J'accepte les avis négatifs car faut avouer que c'est long, ennuyeux (pour ceux à qui ça parle pas) mais je suis entièrement d'accord pour dire que c'est assez prétentieux.
Shining: mouais. J'ai pas kiffé, j'ai jamais flippé, j'ai rien ressenti pendant le film et à part le jeu de Nicholson bah j'ai rien à sauver.
Orange mécanique: je hais ce film par tous les pores de ma peau mais putain quelle claque malsaine quoi. Le film m'a mis vraiment mal.
Eyes whide shut: :eheh:
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Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar Scalp » Sam 01 Mai 2010, 12:01

Eyes Wide Shut (1999) : 2/10
Full metal jacket (1987) : 8/10
Shining (1980) : 4/10
Orange mécanique (1972) : 0/10
2001 : l'odyssée de l'espace (1968) : 3/10
Lolita ( 1962 ) : 5/10
Spartacus (1961) : 7,5/10
L'Ultime razzia (1957) : 8/10
Barry Lyndon : 3/10
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Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar Heatmann » Sam 01 Mai 2010, 14:31

Eyes Wide Shut (1999) 2/10
[color=#BF0000][b]Full metal jacket (1987) 8/10
Shining (1980) 10/10
barry lyndon : a revoir/10
Orange mécanique (1972) 3/10
2001 : l'odyssée de l'espace (1968) 3.5/10
Spartacus (1961) 7.5/10
Les sentiers de la glore (1957) 7/10
L'Ultime razzia (1957) 7.5/10
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Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar zack_ » Dim 02 Mai 2010, 17:45

Ah je suis content de voir que tout le monde gerbe sur Eye Wide Shut 8) J'ai pas aimé non plus.
Comme waylander j'adore la première partie de Full Métal Jacket. La seconde est pas mauvaise mais loin d'être culte comme le début.
Sinon mes avis sur le reste sont inchangés
zack_
 

Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar ril » Dim 02 Mai 2010, 22:10

Eyes Wide Shut (1999):2/10
Full metal jacket (1987):7/10
Shining (1980):2/10
Barry Lyndon (1976):5/10
Orange mécanique (1972):5/10
2001 : l'odyssée de l'espace (1968):5/10
Docteur Folamour (1964):7/10
Lolita (1962):6/10
Spartacus (1961):6/10
Les sentiers de la glore (1957)6/10
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Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar Jeff Buckley » Lun 03 Mai 2010, 13:39

Putain je vous scalperais sur place.
Barry Lindon 5/10
Tu cherches le fouet ?
dunandan a écrit: Puis j'oubliais de dire que Logan me faisait penser à Burton avec sa méchanceté légendaire concernant certains films/réalisateurs/acteurs
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Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar blackula » Lun 03 Mai 2010, 14:41

je vais te rétablir tout ça moi, bande de dégénérés: :mrgreen:

fear and desire : 5/10
le baiser du tuer : 7/10
ultime razzia : 10/10
sentiers de la gloire: 10/10
spartacus :8/10
Folamour :10/10
Lolita :8/10
2001: 10/10
Orange mecanique: 10/10
barry lyndon : 20/10
Shining: 10/10
Full metal jacket : 8/10
Eyes Wide Shut: 10/10
"I know you and Frank were planning to disconnect me. And that's something I cannot allow to happen."
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Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar Jeff Buckley » Lun 03 Mai 2010, 14:43

Ouf (sauf pour 2001 parce que j'aime pas rien comprendre :eheh:)
Folamour :love:
Barry Lindon :love:
Orange Shining very good
Spartacus tres conformiste mais parfaitement tenu et sans aucune faille
Stanley was a beau gosse
dunandan a écrit: Puis j'oubliais de dire que Logan me faisait penser à Burton avec sa méchanceté légendaire concernant certains films/réalisateurs/acteurs
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Re: #Bio# Stanley Kubrick

Messagepar blackula » Lun 03 Mai 2010, 14:46

pour 2001, c'est bizarre ça ne m'a pas gêné de rien comprendre . Je l'ai vu à 12 ans et ça m'a fasciné sans que je puisse expliqué pourquoi. mais aujourd'hui, je peux :mrgreen:
"I know you and Frank were planning to disconnect me. And that's something I cannot allow to happen."
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