[oso] Mes critiques en 2014

Modérateur: Dunandan

Elysium - 4,5/10

Messagepar osorojo » Sam 15 Fév 2014, 14:34

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ELYSIUM

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Neill Blomkamp (2013) | 4.5/10
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En s'appropriant un postulat de départ on ne peut plus classique dans la SF d'anticipation, à savoir une séparation entre deux classes sociales bien distinctes d'une humanité qui se déchire, Neill Blomkamp nous faisait, sur le papier, une bien jolie promesse. Celle de nous livrer, enfin, un film de science fiction, un vrai, épuré de toute vision hollywoodienne du genre, comme pouvait l'être, à son niveau, son premier film. Hélas, il n'en est rien, Elysium souffre du même mal que bon nombre de films s'étant essayé au genre ces dernières années.

Exit la réflexion poussée à laquelle on pouvait s'attendre sur cette société inégale séparant pauvres et puissants. Exit également l'écriture réfléchie d'une galerie de personnages ambivalents qui auraient pu apporter un début d'intrigue, beaucoup moins manichéenne que ne peut l'être le mou propos qui anime Elysium. A croire que Neill Blomkamp a perdu tout le panache qui l'avait motivé à réalisé District 9. Là où ce dernier était bien acide dans ses thématiques, il faut ici se contenter d'une storyline digne d'un roman Arlequin de seconde zone. Jamais une seule fois Neill Blomkamp ne nuance son script, il lui préfère même un déroulement si linéaire et prévisible qu'au bout d'une demie heure de bobine, on pourrait en écrire la fin.

Cette absence totale de risque dans l'écriture aurait pu être comblée par une mise en scène expressive, mais il n'en est rien. En optant une nouvelle fois pour cette shaky cam qui avait fait la puissance de son premier film, parce qu'elle était prédisposée à illustrer le point de vue qui l'habitait alors, Neill Blomkamp se plante royalement dans sa seconde proposition en ayant peur de s'en séparer. Jamais le cinéaste ne s'exprime mieux que lorsqu'il laisse sa caméra se poser pour montrer l'incroyable boulot réalisé autour des ambiances de son Elysium, qui, visuellement, est bel et bien une tuerie. Mais une tuerie vide et inapte à communiquer la passion qui l'a pourtant créé.

En témoigne cette totale absence de motivation des acteurs évoluant dans l'image. Ils semblent tous anesthésiés par le manque de point de vue dont y fait preuve celui qui est censé les guider. Comment les blâmer ? Leurs personnages sont si fades et peu caractérisés qu'il faudrait au moins y croire pour tenter de leur apporter un peu de matière. Il y a fort à parier, quand on voit sa prestation tout juste fonctionnelle, que Matt Damon ne croyait pas trop à la version très convenue de ce nouvel élu qu'il incarne dans Elysium. Ancien voleur sur le retour, en quête de rédemption professionnelle et personnelle, on peut dire qu'il est gratiné dans l'approche cliché du héro à contre emploi. Et histoire d'y aller à fond dans le niaiseux, Neill Blomkamp lui associe une amoureuse fusionnelle, une petite infirmière dont la pauvre petite fille tout mignonne est malade. Autour de cette bulle de tendresse naviguent des bons gros méchants très lourdingues, qui sont si mal écrits qu'ils pourraient aisément avoir leur place dans un Chuck Norris dans l'espace. Comment louper à ce point son badguy, c'est à se demander si les scripts sont au moins relus, ou s'ils sont simplement improvisés lors du tournage. Parce que la direction d'acteur a été inexistante pour faire vivre le vilain d'Elysium, tout simplement insupportable de maniérisme.

Finissons tout de même cet avis sur une note positive, car tout n'est pas mauvais dans Elysium, loin de là. C'est davantage de la frustration qui motive cet écrit. L'univers visuel que crée Neill Blomkamp avec son équipe est tout simplement bluffant. Les décors de synthèse se marient à merveille avec les prises de vue réelles. Le contraste entre les deux villes est saisissant, et dès que les mondes se croisent, il se joue un joli jeu de matière. Mais encore une fois, on peut regretter que jamais Neill Blomkamp n'aille pas plus loin que la simple note d'intention. On aurait aimé, avec ces beaux décors, ce superbe boulot sur les univers virtuels, qu'il nous embarque dans Elysium, autrement que pour nous y montrer ses têtes pensantes. Comment croire à cette ville idyllique si jamais on ne peut la visiter ?

C'est d'ailleurs ce constat qui peut résumer Elysium. Comment aujourd'hui, les réalisateurs, avec les moyens dont ils disposent, et la passion qui les anime (District 9 en témoigne pour Neill Blomkamp), peuvent-il sabrer leur boulot avec une écriture digne d'une cour d'école. Il serait temps que la nouvelle génération retourne se perdre dans les sources qui ont construit la science fiction, pour combler l'inexistence de fond qui caractérise la production actuelle par la richesse littéraire qui est pourtant typique du genre.
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar elpingos » Sam 15 Fév 2014, 15:23

Superbe critique oso ... Tout ce que tu dis est très juste.
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Sam 15 Fév 2014, 16:45

Merci elpingos, c'est sympa :)
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Bullitt - 7/10

Messagepar osorojo » Sam 15 Fév 2014, 21:47

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BULLIT

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Peter Yates (1969) | 7/10
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C'est un sentiment partagé que provoque Bullit lorsqu'on le découvre seulement aujourd'hui. Souvent cité lorsqu'il est question de polar urbain américain, le film de Yates n'est ni plus, ni moins, qu'une référence du genre qui a influencé bon nombre de films sortis par la suite. Dès lors, l'attente, au moment de découvrir ce titre, est forcément au rendez-vous. Malheureusement, Yates ne la comblera qu'en partie.

Oui, Bullit est une référence légitime, mais pour un seul de ses aspects, à savoir cette course poursuite dantesque qui prend place en moitié de film. Une pièce de mise en scène très maîtrisée qui a forcément inspiré un bon paquet de réalisateurs par la suite, tant elle était novatrice quand elle est sortie sur les écrans. La caméra y est projetée en plein coeur de l'action, la vitesse y est rendue avec beaucoup de réalisme et son rythme parfaitement maîtrisé en fait un sacré morceau de cinoche. Nul doute qu'à ce niveau, Yates a réfléchi sa séquence dans le but de marquer les esprits avec une proposition cinématographique encore jamais vue à cette époque.

Mais en dehors de cette poursuite d'anthologie, le film peine un peu à décoller, la faute à un script un peu laborieux qui parvient difficilement à maintenir son cap pour rythmer les presque 2 heures que comporte la bobine. Le jeu politique qui se joue à l'écran semble lointain et l'enquête policière n'est pas des plus passionnantes. Le temps se fait parfois un peu long, on se surprend même à regarder sa montre par moment. Heureusement que le magnétique McQueen est de la partie, son charisme comble l'épaisseur du script et nous permet de rester intéressé.

Malgré cette maladresse dans l'écriture, Bullit est tout de même un joli morceau du cinéma d'action, qui vaut le coup d'oeil ne serait-ce que pour cette course poursuite qui restera encore longtemps sur les lèvres des connaisseurs. On est bien devant un bon polar qui fleure bon les seventies, même s'il est très balisé et un peu maladroit dans sa narration. Yates avait certainement du tellement cogiter sur sa course poursuite qu'il avait un peu laissé le reste se construire tout seul, en comptant, à raison, sur l'excellence de son acteur principal. Mais bon, ça ne fait quand même pas tout, on est bien loin par exemple, de la puissance d'un Inspecteur Harry.
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar zack_ » Sam 15 Fév 2014, 22:01

Faut que je le vois pour la scène dans Lombard street a SF. Vu pour le challenge de février?
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Sam 15 Fév 2014, 22:05

Yep, un ti polar urbain de plus vu dans le pano :mrgreen:
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar elpingos » Sam 15 Fév 2014, 22:59

Bullit c'est le consensus du 7/10 :D (ce qui est déjà pas mal ... )
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Dim 16 Fév 2014, 01:30

Ouais, c'est quand même zarb, j'ai halluciné quand j'ai vu qu'on avait tous mis 7 :eheh:
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Dim 16 Fév 2014, 06:12

Faudra que je le vois pour savoir si je rentre dans le consensus ou pas :mrgreen:.
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Rush (2013) - 8/10

Messagepar osorojo » Dim 16 Fév 2014, 13:48

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RUSH

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Ron Howard (2013) | 8/10
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Idéal pour tester les rutilants chromes de votre tout nouveau système Home Cinema, Rush s'annonce dès sa première scène comme un film à grand spectacle qui va faire trembler vos murs. Lorsque les plans de coupe des ingénieries mécaniques s'invitent à la fêtes, de grosses basses virulentes et une montée sonore frissonnante envahissent l'espace, pour le plus grand plaisir des amateurs de gros moteurs. Biopic classique, Rush n'en est pas moins efficace et se construit en ne perdant jamais de vue les deux grandes figures de la F1 qu'il dépeint. Le duel Lauda/Hunt a émoustillé le monde des courses automobiles à la fin des années 70, et pour ceux qui, comme moi, ne sont pas coutumier de l'univers, la séance de rattrapage est agréable. La découverte des deux légendes se fait forcément de façon romancée, mais on a le sentiment que Ron Howard connaît son affaire et s'est suffisamment documenté pour que l'on croit en grande partie ce qui se passe à l'écran. Bien entendu, le contraste saisissant des vies que menaient ces deux fous du volant est sans doute exagéré, mais il permet au duel que se livrent les deux hommes d'être encore plus saisissant.

Lorsqu'un film dépeint le bitume des plus grands circuits du monde, il fait une promesse à son spectateur, celle d'être solide lorsqu'il s'agit de filmer les bolides qui en foulent le sol. Rush tient à ce niveau bien plus que sa promesse en nous invitant au coeur même des moteurs, au raz du sol et bien plus lorsque les pilotes attaquent, pied au plancher. Les courses sont très intenses, les phases de tension qui les rythment également. Ron Howard parvient à ne pas trop en faire lorsque l'accident survient, tellement violent à ces hautes vitesses que leur illustration brute suffit à rendre l'horreur de la situation.

Duel de personnages implique duel d'acteurs, et Rush ne fait pas dans la demie mesure lorsqu'il fait parler ses deux protagonistes. Chris Hemsworth et Daniel Brühl sont à la fois électriques et subtiles, en tout cas bien dans leurs peaux de coureurs. De jupon pour le premier, d'ambition pour le second, leurs différences sont forcément amplifiées par Ron Howard, mais ce dernier ne perd jamais de vue l'alternance de sentiments qui anime les deux hommes, entre admiration, jalousie et adversité féroce. Autour d'eux, les seconds rôles sont pour la plupart très convaincants également; Alexandra Maria Lara incarne notamment avec une belle justesse le côté humain de Lauda.

Avec Rush, Ron Howard fait preuve d'une belle générosité pour combler son spectateur, que ce dernier soit, ou non, intéressé par les sports automobiles. La fresque humaine qu'il dévoile dans son dernier film est si redoutable d'efficacité qu'on traverse cette tranche de vie sans jamais s'ennuyer. Fort de la prestation magnétique de ses deux acteurs principaux, du sens évident de la mise en scène dont y fait preuve Ron Howard et d'un joli travail sonore, Rush imprimera sur vos écrans un spectacle euphorisant, pas toujours subtile, mais bel et bien communicatif. Il n'y a finalement que la fin qui semble hors de propos, entre la séquence dans le Hangar où Lauda confirme son amitié à Hunt ou encore pire, le déballage graveleux à base d'images d'archives, on a l'impression que Ron Howard n'était pas suffisamment sur de son film pour devoir le justifier à ce point. Ça vient quand même gâcher la fête ...
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Doomsday - 8/10

Messagepar osorojo » Dim 16 Fév 2014, 17:55

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DOOSMDAY

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Neil Marshall (2008) | 8/10
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Sur fond de menace bactériologique, d'invasion virale et de retour à l'état primitif d'une population laissée à l'abandon par ses élites, Doomsday est surtout l'éclate totale d'un cinéaste enfin pourvu d'un budget confortable qui va dépenser chaque centime de ce dernier pour exaucer toutes ses envies de réalisation. Et en bon geek cinéphile, les références de Neil Marshal sont immenses et chacune d'elle vient s'insérer, avec plus ou moins de réussite, mais en tout cas avec la même générosité à chaque fois, dans une oeuvre multi-genre dont le public cible n'est pas forcément très étendu. Doomsday est en effet réservé aux cinéphiles amateurs de bandes rugueuses qui ont pour référence le cinéma bis et d'action des années 80.

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Neil Marshal l'annonce clairement en début de bobine quand il introduit son héroïne, alter ego sans nuance du Snake de Carpenter. Superbement gaulée, la bougresse a des trippes et ne fait pas dans le compromis lorsqu'il faut tataner du vilain. Entre décapitation énervée et headshots généreux, Neil Marshal s'éclate et offre une récréation unique qui contentera quiconque partage ses références et n'essaye surtout pas de recoller les morceaux. Car si le pitch est simpliste, il ne faudra chercher aucune cohérence dans la narration de Doomsday qui n'est qu'un prétexte à la création d'ambiances photographiques superbement senties mélangeant imageries typiques du film du genre mais aussi de la bande dessinée, du comics en particulier.

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La succession des différentes cultures punk, médiévales, toujours crasseuses et quasi primitives, parle pour Neil Marshal. L'homme s'en fout clairement d'être cohérent ou crédible, le propos de Doomsday est ailleurs. Il est dans cette grosse bande son qui nous éclate les tympans, dans ces looks recherchés absurdes certes mais terriblement charismatiques, dans cette héroïnes "who doesn't give a fuck" et dans ses collègues qui se font tous dérouiller un par un après avoir éclaté plus qu'à leur tour, et avec classe, une bonne quantité de salopards en tout genre.

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On pourra reprocher beaucoup de choses à Doomsday parce qu'il cumule les défauts. Et il sera impossible de contre argumenter avec quelqu'un ayant détesté ce film parce qu'il n'aura pas aimé ce pot pourri d'influences généreuses qui cohabitent alors qu'elles n'ont rien à voir entre elles. Mais à tous les amateurs de péloches bis généreuses qui parviendront à laisser de côté leur bon sens pour s'éclater avec Neil Marshal, en profitant de cette générosité sans limite d'un homme qui prouve à tous qu'il n'est pas cinéaste à faire des concessions, à ceux là seulement, Doomsday fera l'effet d'une récréation revigorante qui en appelle d'autres. Parce que si l'on a bien un sentiment en fin de bobine, lorsque la délicieuse Rhona Mitra fait rouler la tête du nerveux Craig Conway, c'est la frustration. La frustration que ce soit fini et surtout l'envie que ça continue.
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Dim 16 Fév 2014, 21:39

Pour moi Doomsday, c'est du Sucker Punch réussi :mrgreen:
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Dim 16 Fév 2014, 23:27

J'ai peu de souvenirs de Suckerpunch, mais j'arrive pas à le rapprocher de Doomsday. Tu fais allusion aux références geek peut être ?
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Dim 16 Fév 2014, 23:40

Exact ^^ (et du plaisir qui en découle).
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Dim 16 Fév 2014, 23:41

C'est vrai que vu le peu de souvenir que j'ai de Suckerpunch, ça devait pas être très fameux :p Je me rappelle d'une longue scène dans un train et d'un gros géant qui se bastonne, mais c'est à peu près tout :mrgreen:

Alors que je crois que je ne pourrai pas oublier snakette :eheh:
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