[Alegas] Mes Critiques en 2015

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Dunandan » Dim 18 Oct 2015, 20:11

Pour le coup, je suis d'accord avec Mark, ces CGI valent mieux que 90% des CGI actuels :nono:

Et je plussoie pour cette vision de l'interprétation et du casting, évidemment que c'est fait exprès ce côté caricatural, qui va bien avec la représentation globalement satirique de la société américaine qui ressort du film...
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Dim 18 Oct 2015, 20:11

Mouais, autant les insectes sont formidables, autant les scènes spatiales font cheap. La première fois que Denise sort en vaisseau t'as l'impression qu'elle est dans l'attraction Star Wars de DIsneyland. :eheh:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar pabelbaba » Dim 18 Oct 2015, 23:58

Y a pas d'effet dans le ciné de Paulo, la façon de montrer importe moins que ce qu'il veut montrer, et c'est pas du tout le genre d'Alegas cette satire et ces exagérations, du coup tant sur le fond que la forme ça ne correspond pas à ce qu'il aime voir. Aucune chance de lui faire aimer un quelconque film de sa part, hormis Hollow Man.
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Allez, Mark, c'est Sophie qui te demande de revenir!
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Lun 19 Oct 2015, 07:34

J'aime bien Black Book. :|
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Lun 19 Oct 2015, 11:13

Tu mets quoi, un petit 6 bien radin ? :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Lun 19 Oct 2015, 12:50

Nan de mémoire c'est du 7,5.
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Terminator Genisys - 0/10

Messagepar Alegas » Lun 19 Oct 2015, 19:46

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Terminator Genysis de Alan Taylor
(2015)


Que dire si ce n'est que ce film n'est ni plus ni moins tout ce que l'on pouvait redouter de lui. L'abandon de la nouvelle trilogie initiée par McG pour se tourner vers un reboot sous forme de suite avait clairement de quoi grincer des dents, et la promotion du métrage n'a pas aidé depuis, multipliant les fautes de goût (Terminator lié à Sam, celui qui ne boit pas, le genre de choses qui hantera les cinéphiles à jamais) ainsi qu'une tare propre au cinéma actuel : à quoi bon vouloir renouveler les vieilles franchises, si c'est pour finalement perdre les anciens fans et faire fuir le nouveau public ? Car c'est bel et bien le résultat de ce Terminator Genysis : un film qui, à force de multiplier les timelines censées le crédibiliser aux yeux de tous, en devient compliqué pour pas grand chose. La profondeur du script est ici une illusion de chaque instant, tant le métrage se révèle d'une stupidité affligeante à vouloir toujours simplifier les choses sans jamais réellement les expliquer. Il en résulte un script écrit dans le seul but opportuniste de faire revivre la franchise afin d'amasser quelques dollars, et qui utilise des trous scénaristiques comme des possibilités de suites (qui a envoyé le Terminator sauver la jeune Sarah ? Personne ne le sait et tout le monde s'en fout comme le dit si bien Kyle Reese dans le film), avec le casting le moins convaincant du monde, le tout tourné par le yes-man tendance du moment qui n'a rien compris au propos des deux premiers opus, autant dire que le résultat a de quoi faire rêver.

Le pire étant que Terminator Genysis aurait pu être un simple film inoffensif et oubliable, mais non, le nouvel opus se transforme rapidement en viol de tout ce que l'on pouvait apprécier auparavant dans les films de James Cameron (incompréhensible du coup que le bonhomme ait vendu son cul pour faire la promo d'un tel carnage) et ne peut donc que susciter le dégoût total, comme si Terminator devenait le nouveau blockbuster next-gen 2.0. Il faudrait des pages entières pour souligner ce qui fait défaut à l'écriture de ce film, mais entre les personnages d'origine réduits à faire des querelles de famille, le T-800 vecteur d'humour (si Cameron avait supprimé la scène du sourire, c'était pour une bonne raison) ou encore la nouvelle pirouette pour présenter un Terminator encore plus puissant, le résultat est d'une stupidité rare. Le casting n'arrange absolument rien, Emilia Clarke prouve qu'une fois passé le succès de Game of Thrones, elle aura du mal à trouver autre chose pour redécoller, et Jai Courtney confirme que sa carrière est une énigme totale (il est en revanche l'homme parfait pour flinguer une franchise). Quand à Schwarzenegger, cela fait beaucoup de peine de le voir réduit à mimer ce qu'il a pu être autrefois, encore une icône qui n'a pas su tourner la page au bon moment. Inutile de parler de la mise en scène d'Alan Taylor, elle est inexistante et les seuls plans un tant soit peu travaillés sont repris des anciens opus. Un échec total qui fait très mal pour quelqu'un qui a grandi avec les Terminator de Cameron. Jamais je n'aurais cru voir l'équivalent de Die Hard 5 sur une telle franchise, et désormais ce sera très dur de l'oublier.


0/10
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Groom service - 4/10

Messagepar Alegas » Ven 23 Oct 2015, 09:35

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Four Rooms (Groom service) de Allison Anders, Alexandre Rockwell, Robert Rodriguez & Quentin Tarantino
(1995)


On a souvent tendance à dire que le plus faible des films de Tarantino est son segment Grindhouse, Death Proof. Pourtant, il suffit de scruter un minimum sa filmographie pour avouer que ce serait plutôt sa participation à un film à sketches : Four Rooms. Un film de ce genre, produit au milieu des années 90, avec Tarantino et Robrt Rodriguez parmi les réalisateurs, cela avait clairement de quoi faire espérer au minimum un divertissement sympathique. Au final, il en résulte quelque chose de fortement inégal, allant du truc totalement oubliable au sketches sympathique mais sans plus. Déjà, tâchons d'oublier les deux premiers segments, WTF au possible et surtout qui ne débouchent sur rien d'intéressant si ce n'est une hystérie collective qui finit par fortement agacer. Quand au segment réalisé par Tarantino, il se révèle, malgré quelques bonnes idées, tellement nombriliste et peu pertinent qu'il devient forcément une déception de la part de l'homme qui livrait Pulp Fiction un an plus tôt. A la surprise générale, c'est finalement le court de Rodriguez qui se révèle le plus sympathique. Fun et doté d'un bon sens du rythme, le baby-sitting improvisé par le maître du barbecue devient aisément la seule bonne raison de regarder ce film qui nécessite forcément la capacité de supporter Tim Roth en surjeu permanent. Un film pour complétistes, rien de plus.


4/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Val » Ven 23 Oct 2015, 11:35

Et puis avec cette musique, je m'attendais à voir débarquer Laurent Ruquier à tout moment. :chut:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Ven 23 Oct 2015, 13:32

J'ai eu la même impression. :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Dim 25 Oct 2015, 09:12

Terminator Genisys a maintenant la pire moyenne de la base :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Heatmann » Dim 25 Oct 2015, 09:39

meriter .

si besoin ai , je posterais meme un avis referencer , juste histoire qu'il s'impose comme le loser ultime .
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Sicario - 8,5/10

Messagepar Alegas » Dim 25 Oct 2015, 15:57

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Sicario de Denis Villeneuve
(2015)


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"Nothing will make sense to your American ears, and you will doubt everything that we do, but in the end you will understand."


S'il y a bien une chose qu'on ne peut pas reprocher à Denis Villeneuve, que l'on aime ou non son travail, c'est bien sa capacité à gérer sa carrière de telle sorte qu'il ne reproduit jamais le même film, tout en conservant un fil rouge thématique au fur et à mesure de l'avancée de sa carrière. Après un film comme Incendies, qui l'a révélé au monde entier, le bonhomme aurait très bien pu, comme nombre de ses confrères auparavant, choisir la voie de la facilité et diriger quelques grosses productions pour devenir un yes-man parmi tant d'autres. Pourtant, au lieu de cela, il a depuis dirigé deux films qui ne se ressemblent en rien, qui font appel à des influences totalement différentes, et qui pourtant s'avèrent être, chacun à leur façon, des questionnements sur l'identité humaine.

ImageImageImage


L'identité est de nouveau au cœur de son dernier film, le bien-nommé Sicario, que beaucoup ont considéré dès les premières images comme un ersatz de Traffic et qui se révèle finalement être plutôt un parfait complément au Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow, dans le sens où les deux œuvres évoquent des guerres aussi idéologiques que morales (la lutte contre le terrorisme pour l'une, le combat contre les cartels de drogue pour l'autre), dans lesquelles les États-Unis s'enlisent pour faire croire jusqu'au bout qu'elles détiennent le contrôle absolu. Identité, contrôle, morale et violence sont ainsi les maîtres mots de Sicario, métrage qui part de l'idée la plus classique qui soit (la découverte d'un milieu dangereux à travers les yeux d'un personnage représentant les questionnements du spectateur) pour démontrer les limites d'un système tout en mettant à mal la moralité du public au passage. Il serait malvenu de spoiler en ces lignes la finalité de l'intrigue du film, toujours est-il qu'elle met parfaitement en lumière ce que veut dénoncer Villeneuve, à savoir cette illusion du combat moral qui sert finalement à une minorité de posséder toujours plus de contrôle (contrôle qui est, lui aussi, une illusion), le tout sous les yeux d'une héroïne persuadée depuis le début de persévérer dans un combat manichéen entre le bien et le mal.

ImageImageImage


Pessimiste mais réaliste, Sicario, à travers un personnage féminin fort qui n'hésite pas à prendre position tout en étant consciente de sa force minoritaire, possède finalement la même force évocatrice visuelle que le film précédemment cité de Bigelow. Les deux héroïnes, perdant chacune ce qui les définit en tant qu'humain, deviennent les pantins d'un plan soi-disant fait pour améliorer les choses et qui ne servent finalement qu'un dessein autrement plus égoïste. A l'image de la froide photographie de Roger Deakins (qui fait lui-même engloutir les personnages par le décor désertique), les personnages de Sicario sont déshumanisés à l'extrême (le personnage de Benicio Del Toro en tête, malgré un puissant charisme). Certains critiqueront le fait d'y voir un film où l'empathie a difficilement sa place (hormis le duo Blunt-Kaluuya), mais c'est pourtant bien la force de l’œuvre globale de Villeneuve, qui sublime cette même froideur par une mise en scène implacable (la virée à Juárez, un très grand moment de tension) et une composition musicale (signée Jóhann Jóhannsson) à faire froid dans le dos. Pas de doute : s'il y a bien quelqu'un qui saura représenter à nouveau la froideur de l'univers de Blade Runner sans renier sa puissance thématique, c'est bien Denis Villeneuve.


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"You will not survive here. You are not a wolf, and this is a land of wolves now."


8,5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Heatmann » Dim 25 Oct 2015, 19:32

fucking AMEN :super: ( j'ai meme perso encore moins de reserve , totalement conquis , emballer et impressioner a tout les niveau , quel putain de film nom de dieu , il va rester )
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Exorciste (L') - 8/10

Messagepar Alegas » Mar 27 Oct 2015, 14:13

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The Exorcist (L'Exorciste) de William Friedkin
(1973)


Seconde fois que je visionne ce film, le redécouvrant enfin dans sa version d'origine, et non pas dans sa version longue qui était plus un terrain d'entente entre Friedkin et Blatty qu'autre chose. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce long-métrage fait toujours son petit effet. Si The Exorcist n'est pas à proprement parler un film d'horreur, le fait est que son pouvoir d'épouvante marche toujours aussi bien des décennies après sa sortie. Un pouvoir qui découle d'une ambiance totalement maîtrisée, véritable apport de Friedkin à cette adaptation réussie. La première chose qui me fascine à la revision, c'est de constater à quel point le public a tendance à résumer le métrage à une simple histoire de démon qui s'empare d'une jeune fille innocente, alors que le véritable cœur de l'histoire se trouve dans l'intrigue de l'anti-héros en pleine période de doute sur sa propre foi. Du coup, évitant habilement le registre du pur film d'horreur, The Exorcist se révèle être un questionnement permanent sur ce qui incite les hommes à croire au Bien et au Mal. Exit la volonté de répondre à chaque question que se posera inévitablement le spectateur, Friedkin préfère livrer un film volontairement trouble dans lequel, pour citer directement le cinéaste, le spectateur mettra une part de sa personnalité dans sa perception des actes montrés à l'écran.

C'est finalement ce qui fait tout le pouvoir du métrage : là où un simple film de genre, aussi efficace soit-il, fera son effet sur le moment avant d'être rapidement remplacé dans la mémoire du spectateur par un autre film, une œuvre comme The Exorcist reste durablement en tête pour la simple et bonne raison qu'il y a une volonté de questionner le public. L'autre point fort du film, c'est évidemment son savoir-faire visuel toujours aussi efficace. Pour une première tentative de créer l'effroi par l'ambiance (qu'il reproduire d'une autre façon dans Bug des années plus tard), Friedkin s'en sort avec les honneurs en usant de procédés simples qui font toute la différence. Que ce soit la façon de filmer un dialogue, de suggérer une situation (le meurtre du réalisateur, qu'on ne peut que deviner mais qui rend l'acte encore plus effrayant), l'exploitation des superbes effets visuels ou encore la manière de retranscrire un atmosphère surréaliste (la chambre d'enfant qui devient un lieu froid et malsain), Friedkin confirmait définitivement son statut de grand réalisateur, et signait ce film qui allait devenir l'apogée de sa carrière. Le meilleur film de son auteur avec Sorcerer.


8/10
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