[Milkshake] Mes critiques en 2011

[Milkshake]

Enfin Die Hard aussi il y a du beau placement de produit gratuit dont un méchant qui prend bien son temps pour manger du crunch et le snifer qui commande aux bad guy un coca.

[Heatmann]

le truc que vous comprenez pas avec way vous deux ,c est que j ai jamais dit que j ai un probleme contre le placement de produit en general ... celui dans minority oui , et c est pas question que spielby le fesait deja avant ou que ca sert l histoire, c est juste que j aime pas comment ca arrive dans la scene quoi , c est personnel , faut pas chercher a argumenter et tout defendre , la c est du resentie perso .....

[Waylander]

Oui mais si on devait juger les choses qu'avec le ressentit ce serait le bordel. Faut parfosi mettre ses sentiments de côté pour comprendre le but d'un plan, d'une scène, d'un traitement de personnage etc... Dis pas qu'on te comprend pas, je te comprend parfaitement puisque moi je peux pas blairer les plans ralentis sur les culs et les bagnoles chez Bay. ca fait partie de son univers je suis obliger de l'accepter.

[Heatmann]

non , moi je fait ce que jveut , jme pose pas de regle c est clair et net ca y en a bien assez comme ca pour nous faire chier dans la vie , moi je vient juste dire ce que je pense et recent voila .
vous si vous voulez faire autrement , no prob

[Waylander]

On fait chier personne je vois pas le rapport.

[Heatmann]

je parle des " regle " .

[Scalp]

T'as un cycle menstruel ?

[Heatmann]

non , way il dit :

Faut parfosi mettre ses sentiments de côté pour comprendre le but d'un plan, d'une scène, d'un traitement de personnage etc... et pas juste baser sur le ressentie .

mouai , moi je repond que ;

il y a deja tellement de " regle " d imposer dans la vie pour nour faire chier , que moi quand je mate et vient parler d un film et poser mon avis ( plutot que critique ) ben je parle evidement avec le coeur , mon experience personnel , mon ressentie , mes emotion et un leger souspson de cinephilie , mais c est tout .

ca me soule , et c est juste pas moi , de faire des "critique" ou consideration generaliste sous pretexte que c est voulue par un real et qu il faut l accepter, je le ferai si j etait payer pour faire des article serieux, pro , objectif, en metant nos gout de coter .. mais c est pas le cas

voila , tout le monde a compris mon point de vue la ?

[Tyseah]

Ouipse, et je suis tout à fait d'accord, j'ai la même vision. C'est pour ça que BoM existe, car il mêle plusieurs styles d'écriture qui vont toucher plusieurs types de lecteurs. Et c'est très bien comme ça.

[Heatmann]

exactement

si on devait tous venir et faire la part de chose , on s emmerderait

[Dunandan]

Moi, la façon dont j'écris mes critiques dépend vraiment du film que je vais voir, et il y a toujours une part d'objectif (pour autant que j'ai quelque chose à dire sur le film) et de subjectif.

[Alegas]

T'as un cycle menstruel ?

[Dunandan]

The Murderer de Hong-jin Na

Après un Chaser percutant, imparfait mais prometteur, le réalisateur décide de prendre plus de temps pour s’offrir un récit plus ample, plus ambitieux ou deux gangs de gangster vont se battre pour le même homme. The Murderer met tout de même une bonne heure à se lancer afin de dépeindre la misère sociale du Yanbian, cette région chinoise d’origine coréenne où bon nombre de personnes sont prête à payer des fortunes pour atteindre l’eldorado : la Corée du sud.

Durant cette première heure on voit le héros hésiter à maintes reprises avant de se lancer dans l’action à l’image d’une excellente séquence ou la projection d’un meurtre se superpose à la réalité. Au final tout cela n’est que fausse complexité d’une intrigue narré de manière confuse, la narration est très perfectible à l’image d’un flashback qu’on nous ressert plusieurs fois. The Murderer est un énorme prétexte pour le réalisateur afin de faire une nouvelle fois une course poursuite endiablé, un exercice dans lequel il excelle.

Une fois le run lancé, le réalisateur nous tient en haleine durant plus d’une heure un déchainement de morceaux de bravoure aussi improbable que réjouissant, ça castagne, ça tranche dans le vif avec comme point d’orgue une fuite groupé au sein d’un bateau finissant sur l’asphalte d’un carambolage impressionnant. A la suite on ne compte plus le nombre de corps décimés, les massacres s’enchainent, les carrosseries s’entrechoquent dans une joyeuse surenchère de personnages.

Le réalisateur abuse allègrement d’une caméra tremblante pour dynamiter sa course infernale quitte à rendre par moment son action et surtout sa narration brouillonne.

7.5/10

[Eikichi Onizuka]

Plus gore que The Chaser ?
J'aime pas trop quand ça tranche trop, ça reste moins sanglant que I saw the devil ?

[Milkshake]

En gros il y a bien 3 à 4 combat avec des dizaines de gars sans que un seul ait un flingue sur lui