[Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Dim 01 Avr 2012, 19:34

Tu verras, The Magic Blade ça va plus loin... Ne pas regarder en étant trop fatigué si tu veux tout suivre :wink:
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 01 Avr 2012, 19:39

C'est clair, surtout les noms chinois...
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Proie (2010) (La) - 7/10

Messagepar Jimmy Two Times » Mar 03 Avr 2012, 08:31



Un des tout meilleurs polars français de ces dernières années. Une version française du Fugitif, course haletante sans aucun temps mort qui procure un plaisir indicible, le type de sensation que notre cinéma de genre national peine souvent à nous faire ressentir. Heureusement, quelques bons petits gars comme Eric Valette veillent au grain.

Le gros point fort du film, celui qui maintient notre attention tout du long, est évidemment la présence de l'excellent Albert Dupontel, notre acteur badass par excellence, spécialiste en chef du coup de boule qui fait mal depuis Bernie (et là il en distribue quelques uns). Son personnage, tendu comme un arc, n' a qu'un objectif en tête, retrouver un salaud de serial killer et ex co-détenu qui veut lui faire endosser ses crimes et qui a kidnappé sa fille (Stépahane Debac en pseudo innocent pourri jusqu'à l'os est très bon). Peu importe les conséquences et l'ampleur des obstacles qu'il devra franchir (notamment la tripotée de flics qui lui colle aux basques, Alice Taglioni en tête), rien ne l'arrêtera.

Techniquement, le film fait plaisir à voir. Sans toucher au génie, le résultat est super propre et recycle de manière extrêmement efficace pléthore de décors rebattus mais toujours avec intelligence. La première partie en taule est très prenante (malgré un maton en mousse agaçant), la scène dans la zone pavillonnaire indéniablement la plus inventive (avec un superbe plan grue) et la dernière partie en pleine nature sonne comme un retour aux sources pour ces hommes qui ont abandonné une large part de leur humanité pour laisser libre cours à leurs instincts de meurtre et de vengeance les plus primaires.

Dans ces très bonnes conditions, il est dommageable que le film instaure in extremis une touche de happy end malvenue qui détonne avec le reste. On était pas loin du sans faute (toutes proportions gardées). Quelques seconds rôles sont également un peu inexploités (Sergi Lopez et Serge Hazanavicius) ou justifient assez mal leur présence comme Zinedine Soualem (qui en plus se paye le luxe d'être partie prenante du final alors que son personnage est un peu inutile). Mais, il est difficile de bouder son plaisir devant ce très bon divertissement qui fait la nique à tous les poids lourds survendus (les films d'Olivier Marchal ou Ne le dis à Personne de Canet). Si on pouvait avoir quelques films français de ce calibre tous les ans, ça nous changerait de l'omnipotence des productions US.

7/10
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Killbush » Mar 03 Avr 2012, 08:40

Ouais très sympa ce petit film frenchy, dommage que la fin soit naze.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Jimmy Two Times » Mar 03 Avr 2012, 08:46

C'est encore plus rageant quand c'est la dernière scène qui nique tout. Avant, les fins merdiques, on les voyaient arriver une demie heure avant le terme, maintenant il est de plus en plus fréquent de voir un film remis en question dans la dernière minute, parfois pour un plan. Faut juste prendre sur soi et faire abstraction.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Jimmy Two Times » Mar 03 Avr 2012, 09:01

BILAN MARS 2012


FILMS CINE DU MOIS




DECOUVERTE DU MOIS




REDECOUVERTE DU MOIS ET ACCESSOIREMENT MASTERPIECE INTEMPOREL



SANS OUBLIER




AUX CHIOTTES




20 FILMS VUS - MOYENNE 6.25/10
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Pirates! Bons à rien, mauvais en tout (Les) - 7/10

Messagepar Jimmy Two Times » Mer 04 Avr 2012, 08:00



Comme souvent avec les films des studios Aardman, le cahier des charges est respecté et le label qualité indéniable. Techniquement, l'animation en stop motion est très réussie et force le respect (quel boulot de titans tout de même), c'est bourré de petits détails inventifs, drôle et rythmé. Sur le papier comme dans les faits, il y a tout pour passer un excellent moment, de l'humour british, des références savoureuses, une interprétation enjouée (vu en VF et Edouard Baer fait le boulot avec sérieux), une BO rock sympa et du non sens à tous les étages.

Mais force est d'avouer qu'on ressort de la séance avec un léger sentiment de tromperie sur la marchandise. Et c'est au niveau du récit que le bas blesse quelque peu... Certes, il y a des pirates mais alors qu'on était en droit d'attendre une pétillante histoire de flibusterie, remplie de batailles navales et de morceaux de bravoure, on a finalement affaire à un concours de sciences. Le capitaine Pirate, qui cherche à remporter le titre de pirate de l'année, fait la rencontre de Charles Darwin, lequel lui apprend que son perroquet obèse, n'est autre qu'un dodo, espèce animale disparue.

Au lieu de parcourir les mers et d'aborder tout ce qui navigue afin de récolter des trésors (enfin il le fait un temps mais faute de succès, il doit trouver une solution pour se constituer un butin), la petite troupe prend la direction de Londres pour participer au dit concours mais aussi affronter la terrible Queen Victoria, qui hait les pirates, et veut faire du dodo un met de premier choix pour l'un de ses festins mondains.

On ne s'ennuie pas pour autant mais on se sent un peu lésé. On en vient parfois à regretter le temps des moyens métrages Wallace et Gromit, dont la simplicité (il n'y avait pratiquement aucun dialogue) confinait au génie. On peut même penser que le long métrage avec les deux célèbres compères et Chicken Run (parodie enjouée de la Grande Evasion) sont supérieurs à ces Pirates. Heureusement, que le savoir faire technique et inventif Aardman est une constante car pour la première fois dans leurs films constitués de héros en plasticine, le scénario est en retrait. Dommage...

7/10
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Alegas » Mer 04 Avr 2012, 09:49

Ouais comme tu dit c'est dommage que le scénario soit un peu trop en retrait (la fin est presque copié collé sur celle de Chicken Run) mais le reste est vraiment excellent. Il y a certains gags dont je ne me suis toujours pas remis (le coup du poisson avec le chapeau :eheh: ).
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Jimmy Two Times » Mer 04 Avr 2012, 21:43

Le truc con qui m'a tué de mon côté, c'est l'île sanglante que l'on surnomme ainsi car...
elle ressemble à une sangle
:mrgreen:
Allez, je réajuste à 7, passée la déception sur l'histoire, il y a quand même beaucoup d'humour et ce parfum délicieusement british.
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127 Heures - 6/10

Messagepar Jimmy Two Times » Jeu 05 Avr 2012, 08:29



Une de fois de plus, Danny Boyle change de registre et s'affirme comme l'un des réalisateurs les plus touche à tout et éclectique en activité. En s'inspirant de l'histoire vraie d'Aron Ralston, coincé pendant 5 jours dans une crevasse de l'Utah, il se lance surtout un défi presque impossible, en partie réussi, faire une bobine de 90 minutes avec un sujet casse gueule sans que ça soit ennuyeux.

Passée une intro d'une quinzaine de minutes montre en main, nous présentant le personnage principal, véritable drogué à l'adrénaline, hippie next gen doublé d'un sportif de haut niveau, la caméra se pose au fond d'un gouffre exigu, centrée sur un James Franco inspiré qui tient le film à bout de bras (c'est le cas de le dire).

Avec peu de choses, Boyle parvient à retenir notre attention mais tout comme son personnage, armé de sa seule bite et de son couteau, il divague régulièrement et meuble comme il peut avec des scènes de rêves/délire pas toujours convaincantes. Hormis une scène très réussie d'auto-interview aussi drôle que désespérée, les quelques excursions à l'extérieur de la crevasse ne provoque que peu d'émotions (l'histoire d'amour inachevée, les pensées pour la famille...). La forme est dans l'air du temps, multipliant les points de vue (camescope, téléphone, prises de vue traditionnelles), pas trop hystérique (c'était le risque même si l'abus de split screens rôde), mais loin de ce que le réalisateur nous a proposé de mieux (Trainspotting, 28 Jours Plus Tard, Sunshine).

A mi chemin entre le film et le documentaire, 127 Heures tient lieu d'expérience et supportera difficilement une seconde vision. Heureusement, Boyle fait court et la scène tant redoutée fait office de délivrance tant pour le spectateur que pour Aron. Sanglante et douloureuse (on se palpe inconsciemment l'avant bras pour s'assurer que tout est en place) et portée par la belle musique de Sigur Ros, la fin questionne surtout le spectateur. Et vous, qu'auriez-vous fait dans une telle situation? Pas sûr que l'instinct de survie prenne le dessus chez tout le monde...

6/10
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Narc - 9/10

Messagepar Jimmy Two Times » Ven 06 Avr 2012, 00:17



Narc prend indéniablement de la valeur avec le temps, abreuvés que nous sommes, de polars aseptisés depuis une dizaine d'années. Carnahan réussit son premier gros coup en nous offrant un film maîtrisé de bout en bout, qui détonne comme un coup de fusil à pompe dans une production US frigide.

Dès le début, on est pris à la gorge avec une séquence marquante, visuellement épuisante mais qui se justifie parfaitement quelques minutes plus tard lorsque l'on prend connaissance du parcours de Nick Tellis, agent des stups infiltré devenu junkie, et qui perd légitimement les pédales. Au moins, les âmes sensibles sont averties d'entrée, ce film n'est pas pour elles (une femme enceinte prend une balle perdue et perd son bébé).

18 mois de galère plus tard, il reprend du service à la demande de ses supérieurs afin d'enquêter sur le meurtre non élucidé d'un collègue, lui aussi infiltré. Il fera équipe avec l'ex-partenaire de la victime, Henry Oak, lieutenant badass par excellence. Au gré de leur investigation dans les bas fonds d'un Detroit sordide et malfamé, la quête de vérité est aussi chaotique que traumatisante.

Carnahan ne s'en cache pas, l'hommage au grand William Friedkin et aux années 70 saute aux yeux.Nerveux et brut de décoffrage, Narc est un bel uppercut pour le spectateur peu habitué aux polars rentre dedans d'une époque révolue. Les scènes d'actions sont peu nombreuses mais elles sont particulièrement sèches et sans concession. Le trauma de Nick donne également lieu à quelques belles séquences dramatiques toujours justes. Baigné dans une lumière bien craspec en parfaite adéquation avec l'histoire et sublimé par la BO d'un Cliff Martinez en grande forme, on est pris aux tripes du début à la fin (d'une l'ambiguïté morale troublante)

Mais le film ne serait rien sans les excellentes performances du duo Jason Patric/Ray Liotta, le premier dans le meilleur rôle de sa carrière, et le second que l'on avait pas vu aussi bien dirigé depuis les Affranchis (dans lequel son personnage se prénommait également Henry, clin d'oeil du destin). Les deux compères en imposent méchamment. Une chose est sûre, le film donne envie de se goinfrer de polars à l'ancienne...putain c'était mieux avant! Merci Joe!

9/10
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Mi$e à prix - 8/10

Messagepar Jimmy Two Times » Ven 06 Avr 2012, 13:46





Bien motivé par la vision de l'excellent Narc et par le souvenir encore palpable du récent et magnifique Territoire des Loups, je me suis programmé une petite séance détente totale avec ce divertissement de haut vol de l'ami Joe Carnahan. L'histoire est simple, un show man de Las Vegas, qui fricote un peu trop avec la mafia et s'apprête à cracher le morceau, devient la cible de toute une tripotée de tueurs à gages, mercenaires néo nazis et autres hitmen sadiques alors que dans le même temps le FBI tente de s'assurer le bon déroulement des opérations, ignorant tout des intentions peu louables de la brochettes de zigotos précités.

Carnahan réussit là où tant d'autres se cassent les dents, son polar déjanté reste fluide et parfaitement compréhensible de la première à la dernière minute (parfois presque trop didactique à la limite) et se permet même de renvoyer à ses études brouillonnes un certain Guy Ritchie (en perdition totale depuis l'après Snatch). Chaque personnage est introduit avec brio et à le droit à sa petite scène cool ou iconique. Le casting est très réussi, les plus connus n'étant pas forcément les plus présents à l'écran (Ben Affleck est classe, Ray Liotta pas mal mais forcément moins bien servi que dans Narc et Andy Garcia fait le lien avec la franchise branchouille mais sur le déclin des Ocean, à laquelle on pense forcément, Las Vegas oblige). La très bonne surprise vient de Ryan Reynolds (sur lequel je crache régulièrement mon venin depuis le traumatisme Green Lantern), et qui tient là son meilleur rôle avec Burried. A tout ce petit monde vient s'ajouter la débutante Alicia Keys, impeccable en tueuse de sang froid et sa copine artilleuse en chef, qui a troqué l'amour du sexe fort pour celui des très gros calibres ( le fusil antichar fait très mal).

Mi$e à Prix puise également sa réussite dans son unité de lieu, un hôtel casino tout ce qu'il y a de plus banal et son penthouse qui sert de refuge au témoin tant convoité, Buddy "Aces" Israel. Après toutes les belles promesses liées à l'excellente introduction, le climax ne déçoit pas. Ça défouraille comme il faut, ça tronçonne, la violence tâche réellement et peu de personnages en sortent indemnes. Le pseudo-twist final ne surprendra personne (sauf ceux qui n'ont pas suivis), on le devine à mi-parcours dans une scène très explicite. Et puis on retiendra davantage la belle perf' de Reynolds dans l'épilogue.

Hormis quelques digressions malvenues (la gamin karatéka complètement hors sujet, les frères Trémors un peu borderline avec l'atmosphère générale, même s'ils font bien marrer), le film remplit son contrat. C'est fun, on ne s'ennuie pas et c'est dans le haut du panier du genre. Un pur divertissement comme le ciné US du 21ème siècle en propose trop peu.

8/10
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Ven 06 Avr 2012, 13:50

Oh no, running gag detected :mrgreen:
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Jimmy Two Times » Ven 06 Avr 2012, 13:52

Je ne suis pas là depuis longtemps, mais je pense que ça concerne l'ami Zack :mrgreen:
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Killbush » Ven 06 Avr 2012, 13:53

Putain il abuse le Boss :mrgreen:
Sinon, très bien tes critiques des Carnahan :super:
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