decidement c'est la journer !
la fin monter a l'arrache ca me laisse quand meme un sale gout , la coupe est degueu et le stock shot immonde !
Modérateur: Dunandan



Mais j'aime le sens que je m'en fais (c'est perso).






Petit film sans prétention conçu par une équipe d'inconnu (sauf Coppola en producteur et l'acteur Mickey Rooney), l'Etalon Noir bénéficie pourtant d'une mise en scène sympathique et jolie mais mollassonne malgré le scénario type quête initiatique agréable mais dont la transparence ne permet de vraiment s'impliquer et de se prendre d'empathie pour cette "amitié" enfant/cheval. La partie sur l'île est peut-être belle mais simpliste, peu développée, pas forcément bien écrite , très "bons sentiments" dans l'âme et mal exploitée (combien de temps dur cet isolement ? A part les algues que mangent le petit et le cheval ? Un abri ? Bref c'est survolé, ça manque de crédibilité).
Ce qui compte c'est juste cette rencontre improbable et ce lien qui se tisse petit à petit. l'ambiance y est dénuée de dialogues (forcément), des musiques très poétiques, une épuration qui fait penser à du Miyazaki et photo magnifique, scènes très attachantes (le "ballet" des 6 jambes sous l'eau c'est
), l'affect fonctionne mais on reste très détaché quand même (c'est contradictoire). Une fois revenu à la civilisation la relation prend de l'ampleur, elle évolue, le sport entre en scène, la course, la vitesse, les dons du duo s’affichent clairement, il y a des plans qui rappelle War Horse de Spielberg (certainement le summum du genre) mais c'est plutôt pépère et gentillet mais profond (le gamin, la mort du père, le cheval limite maltraité, l'ancien jockey, le traitement et l'ambiance qui font de cette realtion une sorte de légende : la course finale et sa dernière minute , le suspens est magistral, on est vraiment dedans).
Spielberg a ait largement plus maitrisé, mieux écrit, plus "ample" mais cet Étalon Noir a le mérite d'être moins surfait. Presque expérimental mais le cul entre deux chaises tout du long. L'écriture manque d'un petit souffle, de moins d’intimisme et plus en même temps.ps: pour faire mon relou je dirais que la façon dont dépeint les Arabes le cinéaste est à mourir de rire : on en voit deux: l'un est camouflé des pieds à la tête, le regard méchant, l'autre insulte le petit de Sheitan et plus tard, lui pique son gilet de sauvetage | Film: Étalon noir (L') Note: 7/10 Auteur: Heatmann |
Film: Étalon noir (L') Note: 9/10 Auteur: jean-michel |

Recette hollywoodienne dru film catastrophe c'est à dire : Grosse star à l'affiche, petit nouveau , acteurs de second rôles assez connus , gros budget, James Horner à la musique (qui s'autopompe d'ailleurs pas mal son score de Titanic), effets spéciaux, grand spectacle, film scindé en 2 avec la partie développement des protagonistes, de la vie de pêcheur, de l’ambiance port de pêche etc.. Mélange de beauferie, d'esprit bon vivant, de petites scénettes intimistes, les petits tracas de la vie, les amour,s pas très passionant car tout est bien évidemment survolé, on ne peut même pas dire que le film possède d'ailleurs une vraie tête d'affiche car même Clooney est plutôt transparent comme perso. C'est là que le film commence à se démarquer des productions de l''époque car justement la star n'est pas si omniprésente que cela, son background n'est pas gros comme la Lune, le film ne s'étend pas pour rien là-dessus. Ce sont des pêcheurs, des mecs qui vivent quoi, des espadoniers, des mecs qui taffent par plaisir mais aussi par souci pécuniaire, des mecs simples, des mecs courageux qui en chient à partir plus de 2 semaines en mer pour pas grand-chose. Essuyer les tempêtes, la mer à perte de vue, l'odeur de la poiscaille, l'incertitude quant au voyage de retour etc... 
Le film abuse des musiques pour souligner les plans de bateau qui arrivent au port, de la femme qui cours vers son chéri etc...Petersen mélange grossièrement la recette typique du cinéma outre atlantique pur y injecter autre chose : aucun personnage ne survit , le scénario tente tant bien que mal de nous intéresser à autre chose qu'aux pêcheurs avec cette alternance entre le météorologue, les missions de sauvetage en pleine mer, le voilier perdu et les retours sur la terre ferme..Bancale, cette narration nous sort souvent de la trame principale assez répétitive et peu exploitée. En pleine tempête se disperse un peu trop malgré les scènes impressionnantes de haute mer (pas mal de CGI quand même et qui n'ont pas très bien vieillis). Le film se permet quelque déviation par rapport au panorama blockbuster du moment (Armagueddon en 1998 dont The perfect storm reprend quand même pas mal l'idée d'une équipe de vrais mecs qui bossent durs, une équipe soudée et la même fin trait pour trait avec les photos des mecs etc...ou est-ce dans Deep impact?) mais Deep Impact avait déjà été un petit ovni dans le genre. Les acteurs on les connait tous mais se contentent du minium quand même. Clooney est pas super impliqué ni très convainquant alors que le rôle laisse suggérer une matière plutôt intéressante et profonde.








Bon je fais pas de vraie critique pour ce film car je l’ai vu en VO sans sous titres et j'ai pigé 20% des dialogues. 

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