[Dunandan] Mes critiques en 2013

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar Mark Chopper » Lun 16 Sep 2013, 14:07

En fait je ne me souviens plus de rien. Je me rappelle juste ne pas m'être emmerdé alors que je m'attendais à souffrir :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar Dunandan » Lun 16 Sep 2013, 14:09

Sûrement l'effet Gégé ...
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar Kakemono » Lun 16 Sep 2013, 15:34

Tu feras gaffe, t'as mis 4,5 points de trop sur ta dernière critique... :?
Je l'ai vu il y'a pas longtemps et j'ai souffert. Beaucoup. :|
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar Dunandan » Lun 16 Sep 2013, 15:47

Je l'ai noté sur mon barème com' rom', parce qu'en temps normal il se payait - 1 d'office :mrgreen: (j'assume, j'ai un bagage "com' rom'" presque aussi élevé que mon bagage "samouraïs" :chut:).
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Big Combo (The) - 8/10

Messagepar Dunandan » Mar 17 Sep 2013, 17:03

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The big combo, Joseph H. Lewis (1955)

Très bon film noir dont la réputation est justifiée, à l'écriture carrée, et surtout porté par la photo de John Alton qui livre ici l'un de ses meilleurs boulots, avec des contrastes parfois hallucinants, sublimant les atmosphères nocturnes, et parsemant les visages d'ombres pour souligner leur noirceur (tandis que les femmes sont souvent illuminées d'une aura laiteuse). L'histoire en elle-même repose sur des archétypes : le détective honnête et obstiné à faire plonger le boss de l'organisation criminelle, quoiqu'il lui en coûte (financièrement et humainement), ce dernier qui n'a peur de personne et n'hésite pas à éliminer ceux qui le gênent, et enfin la blonde qui se retrouve fatalement avec le mauvais garçon, belle et mélancolique à la fois, et désire le quitter sans le pouvoir, succombant à sa puissance érotique... Or, ce qui distingue essentiellement un bon et un mauvais film noir, c'est l'écriture de ses personnages, ce qui tombe bien car c'est le cas ici, avec surtout une introduction efficace qui permet d'identifier immédiatement leur caractère bien trempé (j'ai particulièrement aimé le face-à-face psychologique avec le boxeur qui illustre à merveille l'esprit calme et haineux du gangster).

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Néanmoins, j'ai eu un peu de mal avec le rythme lancinant du film, ce qui n'est pas un défaut en soi (j'aime beaucoup d'ailleurs la musique jazzy, diablement entêtante), mais j'ai seulement été surpris par la tournure de l'histoire qui se focalise sur l'ambiance, mortifère et vaporeuse à souhait avec un espace conquis par le clair/obscur, au détriment d'une enquête, il est vrai, classique et pas toujours passionnante. Ce qui m'a aussi gêné, c'est le phrasé un poil trop théâtral des acteurs qui sonnait parfois un peu faux. Heureusement que cette mauvaise impression est rapidement contrebalancée par une réalisation vraiment classe, et un ton cru, violent et sulfureux à la fois (flirtant avec la censure de l'époque), et des dialogues percutants qui rendent honneur aux personnages, avec des gangsters bien typés. L'intrigue est simple à suivre, basée sur le fait de trouver des indices qui pourraient faire plonger le big boss, donnant lieu à des règlements de compte & Cie. Les jeux de pouvoir qui ont lieu sont superbement exprimés par la manière dont les plans sont composés, le boss des gangsters figurant souvent à l'avant, imbu de puissance avec la cigarette au bec. Et il y a des idées visuelles toutes les 2 min, sublimées par les fameuses sources lumineuses uniques de John Alton, comme la scène de torture avec l'oreillette (qui inspirera Tarantino pour son premier film), et celle du meurtre silencieux.

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Bref, pas grand chose à redire de ce film bien ficelé (mais au fond assez light) et d'une beauté formelle rarement égalée dans le genre, sinon que je préfère Les forbans de la nuit, toujours mon film noir préféré jusqu'à date grâce à son personnage principal attachant, tandis que The Big Combo est un modèle de froideur (ici une qualité dans la mesure où le clair/obscur est presque un personnage à part entière, jusqu'à l'ouverture lumineuse finale, mais du coup je n'ai pas accroché plus que ça au destin des protagonistes). J'ai donc peut-être été légèrement déçu par un film considéré comme l'un des plus grands dans sa catégorie, mais que je reverrai certainement avec plus de plaisir maintenant que je sais à quoi m'attendre (et je pense aussi avoir plus d'affinités avec le film noir flirtant avec le drame humain, plutôt qu'avec les enquêtes policières, bien qu'ici on retrouve un peu des deux).

Un classique du genre du film noir, magnifiquement photographié, aux dialogues ciselés, et doté d'un ton très violent pour l'époque.
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Film: Association criminelle
Note: 9/10
Auteur: Scalp

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar Scalp » Mar 17 Sep 2013, 17:12

Lee Van Cleef il est génial dans ce film. Ce film est dans mon top 3 du genre.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar jean-michel » Mar 17 Sep 2013, 17:32

Intéressant! je connais pas...et donc a voir.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar Dunandan » Mer 18 Sep 2013, 04:31

Visuellement ça claque, tu peux y aller les yeux fermés Jean-Mi :super: (m'enfin rouvre-les quand tu verras le film :mrgreen:)

PS : je ne vois plus ton avatar ...
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar Mr Jack » Mer 18 Sep 2013, 18:42

Pas vu celui là, tiens :super:
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Proxy war - 6/10

Messagepar Dunandan » Jeu 19 Sep 2013, 00:26

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Yakuza papers 3 : Proxy war, Kinji Fukasaku (1973)

Tournant autour des mêmes éléments que les autres opus de cette saga, sur quoi Fukasaku met-il l'accent avec ce nouvel yakuza eiga ? Que la qualité du cercle relationnel est essentielle pour avoir pied dans ce panier de crabes prêts à se jeter les uns sur les autres à la moindre occasion. Or, deux chefs (comme d'habitude) vont s'affronter pour la mainmise du pouvoir et du territoire. Et entre eux, le fameux Hirono est de retour, à faire de délicats et dangereux mouvements entre les deux partis afin de graver les échelons, ou au pire, maintenir sa position.

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J'avoue avoir parfois décroché un peu de cette histoire que j'ai trouvé moins passionnante que les deux précédentes. Car si la dynamique relationnelle est intéressante dans la compréhension du système criminel japonais, je préfère néanmoins lorsqu'au milieu de ce jeu politique d'alliances, de négociations, et de trahisons, il puisse émerger deux têtes assez fortes pour sortir du lot, dont l'une tiendrait tête à l'autre, à savoir Hirono, personnage principal et pièce pivot de ce stratego géant. Or, si c'était le cas des deux premiers épisodes, ce protagoniste laisse en quelque sorte ces deux pitoyables et geignards boss (et quelque peu irritants) s'entre-déchirer en essayant d'intégrer leur jeu et d'en tirer son épingle, ce qui passe essentiellement par les très nombreux dialogues qui ponctuent le film.

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D'un autre côté, en dehors de qualités formelles qui ne sont plus à prouver dans cette saga, qui se répètent de film en film, et des bonnes trognes de malfrats toujours appréciables, il y a quand même de beaux morceaux au sein de cet épisode où s'enchaînent de manière chaotique les règlements de compte, lorsque le verbe ne suffit plus à faire l'équilibre (une carte est livrée avec le DVD, censée résumer les relations et décès réalisés au cours de la saga ... c'est le bordel). Outre les séquences où le sens de l'honneur est de nouveau tourné en ridicule, grands moments guignolesques, d'autres valent aussi le détour : un jeune rebelle venant se rallier au milieu et qui devient immédiatement plus respectueux des traditions, cette pauvre femme livrée sexuellement aux gangsters par son propre mec pour se faire des contacts, et enfin cette ultime séquence qui suggère que les gangsters ne respectent pas plus les vivants lorsqu'ils sont endeuillés. Au final, ce film fait parti de ces oeuvres qui exigent beaucoup du spectateur pour en comprendre toutes les ramifications, surtout lorsque l'implication des personnages devient subordonnée au jeu politique de leurs relations, si nombreuses qu'on en perd le compte.

Avec la verve qu'on lui connait, Fukasaku expose un milieu criminel qui s'auto-détruit par ses jeux de pouvoir, plus axé ici sur les relations stratégiques en jeu. Moins bien rythmé et plus distant avec les personnages, cet épisode peut laisser le spectateur sur sa faim.
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Police Tactics - 7,5/10

Messagepar Dunandan » Jeu 19 Sep 2013, 21:49

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Yakuza papers 4 : Police tactics, Kinji Fukasaku (1974)

Après un épisode qui se noyait dans son exposition documentaire des rapports de force interclaniques, au détriment du développement des personnages, Kinji Fukasaku parvient à redonner un peu de souffle à sa saga qui commençait à faire du sur-place. D'abord en recentrant l'intrigue autour d'un relatif petit nombre de personnages, ce qui permet de s'intéresser à leur sort. Et surtout en lui rajoutant une dimension plus large avec la presse et la police qui, pressurées par l'opinion publique, ne peuvent plus laisser les yakuza agir en toute impunité, les obligeant ainsi à sortir de leur clandestinité, plus que jamais hypothéqués par cette nouvelle situation sociale où la violence n'est plus tolérée. Une nouvelle pièce essentielle venant se rajouter au déjà compliqué jeu d'échecs qui est le leur.

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Depuis Deadly fight in Hiroshima, les enjeux ne m'ont pas paru aussi clairs, avec un soucis du détail toujours appréciable (même si j'aurais voulu en savoir plus sur les méthodes policières d'enquête, ici à peine effleurées). Le boss Yamamori, toujours aussi machiavélique derrière ses airs pleurnichards applique la règle "tuer ou ne pas être tué", et mène ainsi une guerre sans merci où les morts s'accumulent, tandis que son direct adversaire, le prudent Uchimoto, préfère sagement mais aussi lâchement, rester en stand by et mener ses affaires sans s'occuper du reste. Or, il n'y a pas de place pour les tièdes, et ainsi ce dernier perd progressivement toute crédibilité et autorité auprès de ses plus jeunes recrues et surtout de ses alliés qui lui retirent leur soutien.

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Si les scènes de guérilla urbaine sont toujours filmées avec autant d'impact, c'est le retour des scènes intimistes qui leur donne une réelle ampleur, après une relative absence dans le précédent opus trop axé sur les faits au détriment des personnages, en dépit du talent formaliste de Fukasaku à nous sortir à chaque fois de belles compositions de plan qui font honneur à l'énorme galerie de personnages. D'autre part, on voit bien à quel point la violence vient contaminer toutes les strates sociales, en dépit de l'effort de chacun, du niveau le plus haut où le maintien d'un haut niveau de vie implique l'élimination systématique des obstacles humains, au niveau le plus bas, avec les femmes qui désirent se libérer de la tutelle masculine, ou les jeunes qui, en voulant s'extraire de la misère ou monter en grade, mettent un trait sur le code d'honneur. Et il y a l'inévitable outsider Hirono, le cul entre les deux chaises, qui se retient à peine d'en finir avec son ancien boss qui lui fait sans cesse des coups fourrés.

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Enfin, l'intérêt de Police Tactics réside aussi dans son dénouement qui fait part d'une impasse pour ces yakuza, pris en tenailles entre les autorités qui ne leur laissent plus aucune marge de manoeuvre, et les alliances qui ne fonctionnent pas alors qu'elles apporteraient une relative stabilité. Vont-ils donc simplement disparaître du plateau de jeu, ou seront-ils capables de retourner la situation à leur avantage, d'évoluer avec le monde changeant, et connaître ainsi un renouveau structurel ? Réponse dans le dernier épisode, qui je l'espère saura conclure de manière satisfaisante cette saga aussi documentée que jouissive bien qu'accusant un rythme parfois inégal.

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L'épisode de transition pour chacun des gangsters qui parviennent à une impasse, porté par un récit équilibré entre style documentaire et intimisme, ce qui faisait la réussite des deux premiers films.
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Final episode - 8/10

Messagepar Dunandan » Ven 20 Sep 2013, 18:25

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Yakuza papers 5 : final episode, Kinji Fukasaku (1974)

C'est avec les honneurs que Fukasaku termine son cycle sur les familles yakuza qui s'étend sur trois décennies, trouvant une place indiscutable en son sein. En effet, les questions laissées en suspens trouvent ici des réponses. Désormais, si les yakuza désirent subsister, non seulement sous le regard de l'opinion publique, mais également sous le coup de ses membres disparates, la forme de leur organisation doit évoluer, avec un chef prêt à les y conduire. Et c'est Takeda que nous avons suivi depuis le début, qui prend les rennes du pouvoir, et prend l'initiative de transformer l'organisation criminelle en corps politique légitime. Seulement, sous des apparences de défenseurs du patriotisme et de civilité, des yakuza demeurent des yakuza, et les séditions recommencent de plus belle.

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Ce qui m'a frappé dans ce film, c'est d'abord sa capacité à nous exposer clairement les petits jeux balanciers auxquels se prêtent ces individus, prêts à faire et à défaire les alliances qui les relient aux autres, afin de jouir des privilèges singuliers dont peut bénéficier le big-boss. Peu importe l'enveloppe, le fond reste le même, et c'est dans le sang que les conflits trouvent une solution qui demeure toujours provisoire, jusqu'au prochain affrontement. Certes, la manière de procéder ne semble pas différer d'un film à l'autre. Mais peut-être que la note d'intention du réalisateur est justement de nous enseigner que rien ne change d'une époque à l'autre, le cycle de la violence continuant simplement son chemin, en dépit des générations suivantes qui choisissent fatalement la voie de leurs aînés.

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D'autre part, Fukasaku parvient encore à éveiller notre intérêt grâce à un casting en béton, et au capital-sympathie que le spectateur a pu élaborer au fil des épisodes, mené particulièrement par Hirono. D'abord chien fou, puis progressivement simple spectateur des évènements, il est finalement dégoûté de la mascarade qui s'y joue, et touché par cette jeunesse (lui rappelant probablement la sienne) qui continue à sacrifier ses jeunes années pour rien. En dépit de son statut quo, il demeure toujours une cible car incontrôlable. Et même si les effets de la mise en scène demeurent semblables d'un titre à l'autre, ils sont toujours aussi efficaces et plaisants à suivre, avec de belles compositions de plan pour les scènes intimistes et une caméra tournoyante témoin du chaos à l'oeuvre durant les affrontements en pleine rue.

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Au terme de ce cycle ambitieux, malgré quelques coups de mou (surtout dans Proxy War, incontestablement le maillon faible de la chaîne), notre cinéaste japonais est parvenu avec vigueur à prélever l'esprit de l'évolution des familles yakuza, que ce soit dans ses moeurs ou son fonctionnement interne, lesquelles ont profité du Japon en crise de l'après-guerre, et ont perpétué ce chaos socio-économique en le transférant dans leurs propres modes de vie. Le bilan est résolument amer et pessimiste, car si les vieilles générations réalisent parfois l'impasse à laquelle elles sont vouées, les nouvelles semblent prendre le relais, animée par cette même énergie du désespoir qui les pousse vers les chimères d'un petit pouvoir éphémère. En fin de compte, il s'agit de l'un de mes épisodes préférés, à cause de cette fin à la hauteur de mes attentes, qui réussit presque aussi bien à articuler destinées personnelles et jeux de pouvoir que Deadly fight in Horoshima. Mais en termes de qualité je trouve les deux derniers équivalents.

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Avec le même regard acerbe, et un petit goût mélancolique que nous transmettent ses deux protagonistes principaux incapables de changer la donne, Fukasaku clôt magistralement cette fresque sur la criminalité japonaise qui restera à coup sûr dans les annales.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar Dunandan » Ven 20 Sep 2013, 18:39

A mon tour de faire un petit bilan :

1 - Image 2 - Image 3 - Image
4 - Image 5 - Image
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar Jimmy Two Times » Ven 20 Sep 2013, 19:16

J'arrive. Je vais me faire les 3 derniers à mon tour. Le premier en quatrième position Dun?
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2013

Messagepar osorojo » Ven 20 Sep 2013, 19:18

A part le premier que tu as moins aimé, on a sensiblement le même avis sur cette saga :super:

De jolies critiques en tout cas, bel effort pour l'ensemble des 5 opus :chinese: Par contre t'as eu du courage pour les enquiller aussi vite, parce que même si je les aime beaucoup, il est clair qu'ils se ressemblent tous beaucoup :)

@Jimmy : l'écoute pas, il craque pour le premier, il a subi des pressions !
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