[Dunandan] Mes critiques en 2014

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Jeu 27 Fév 2014, 21:04

Ben il est sorti en trois fois au Japon ... :mrgreen:. M'enfin voilà j'ai commencé. Vaut mieux que je le fasse maintenant finalement avant de voir un autre film. Je vais essayer que ce soit le plus propre possible.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar zack_ » Jeu 27 Fév 2014, 21:06

D'ailleurs il est référencé sous la condition humaine et non la condition de l'homme.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Jeu 27 Fév 2014, 21:09

Ah ouais ? Bon de toutes façons je vais arranger ça. C'est à cause de la traduction anglaise qui m'a induit en erreur ^^.

Edit : voilà c'est fait.
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Condition de l'homme II, Le chemin de l'éternité (La) - 7/10

Messagepar Dunandan » Jeu 27 Fév 2014, 21:35

Film précédent
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La condition de l'homme, Le Chemin de l'éternité, Masaki Kobayashi (1959)

La seconde partie emprunte le même schéma que la première. L'idéaliste est devenu un bon soldat. Après s'être cassé les dents en essayant d'améliorer les conditions de travail des ouvriers, l'armée devient son nouveau terrain de jeu. Une bonne discipline de fer à l'ancienne à coup de baffes pour un oui ou un non, et des tâches ménagères, ponctuent ce qui est plus un drame psychologique sur la guerre qu'un film de guerre. Les deux premières heures, à part quelques passages un peu poussifs, je les ai trouvées assez intéressantes avec des dialogues lourds de sens : on aurait dit du Full Metal Jacket (pour la dénonciation d'une pratique déshumanisante), armé de l'âpreté formelle et du cadrage millimétré de Cote 465, avec un fond à la Jarhead (durant 3h30 on se contente des conditions de vie du soldat et un peu d'entraînement à la dure). Et chaque personnage qui donne la réplique à Tatsuya Nakadai (dont je n'ai pas assez souligné la justesse en dépit de son jeu théâtral) a son importance, notamment le soldat peureux et incapable, le potentiel déserteur, et sa femme, qui offrent un contrepoint humain à ce contexte qui l'est de moins en moins au fur et à mesure que l'affrontement se précise, où l'échec et la faiblesse sont synonymes de défaite.

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De manière plus subtile, l'idéaliste aura donc à faire l'équilibriste entre la nouvelle sécurité acquise (pour retrouver sa femme, seule raison positive de vivre) et sa résolution d'aider son prochain quand il le peut, du moins jusqu'à ce qu'ironiquement on lui confie une garnison de jeunes recrues (alors qu'il sait très bien comme ça va finir) à la demande de son supérieur pour les éduquer de manière à la fois humaine et efficace. Cette dernière heure je l'ai vue passée, moins pour l'intérêt de ce passage que pour la durée interminable du film. Bref, c'est lent et long (les plans durent une éternité), mais le traitement psychologique est d'une richesse confondante, bien qu'on puisse toujours reprocher cette insistance du drame et de la tragédie (sauf que cette fois-ci, il y a quelques pauses plus ou moins lumineuses comme la visite de la femme du héros, la présence de l'infirmière, ou les moments décontractés avec les soldats). Encore une fois, le final est bien sombre, mais totalement cohérent avec l'absurdité d'un parcours qui est tout le contraire d'une promenade de santé.
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A suivre ...

Une suite plus satisfaisante. Face aux mêmes difficultés narratives et formelles (un peu trop de drame, mais la réalisation est sublime), je commence vraiment à apprécier le parcours moral de cet idéaliste, reflet même de l'humain faisant face aux dilemmes du réel.
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Condition de l'homme III, La prière du soldat (La) - 8/10

Messagepar Dunandan » Jeu 27 Fév 2014, 21:38

Film précédent
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La condition de l'homme, La Prière du soldat, Masaki Kobayashi (1961)

La troisième partie est un peu différente des autres films. La guerre s'achève, le Japon est mis en échec, et le périple ne fait que commencer pour Kaji, qui désormais se contente de survivre pour retrouver sa chérie, son unique lueur d'espoir qui constitue le secret de sa force et le rend de plus en plus inaccessible aux autres, tandis que lui se retrouve de plus en plus seul. Tandis qu'il évoluait dans des cadres (l'usine, l'armée) dominés par des règles déshumanisantes, il est désormais livré à lui-même. Ainsi, nous avons affaire à un survival durant les deux tiers du film, à la fois moral, physique, et existentiel. Or ce dernier film m'a vraiment passionné (à part deux petites longueurs à la fin qui une fois de plus mettent trop l'emphase sur le drame), qui donne toute sa valeur au développement moral de son personnage principal, confrontant inlassablement ses idées à la réalité. Accompagné de soldats et de civils, désormais sa règle est simple : "tuer ou être tué". Un combat personnel et collectif qui ne s'encombre pas de nationalismes ou d'idéologies, dont le respect des codes de conduite signifient cette fois-ci la mort assurée. Une fois encore, de nombreux thèmes sont traités comme la responsabilité morale des individus tués au champ de bataille, l'attrait irrésistible de la chair et le sens de la justice en temps de survie (égalitaire ou adaptée aux besoins de chacun ?). Ces personnages sont hantés par un retour chez eux et les chances de reconstruction d'un pays sur les genoux. Un bref optimisme prend place dans un village où se joue le destin d'un nouveau Japon, qui se révèle incapable de se bâtir sans quelques sacrifices humains, et en paie fatalement le prix.

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Plus que jamais, Kobayashi signe un film crépusculaire sur la guerre qui rend acceptable la soumission à l'individu, souille son âme et son corps, lui prend tout sans rien lui rendre en échange, rendant un retour chez soi de plus en plus vain et inutile. L'intelligence du traitement du fond est de comparer et confronter les nationalités (en respectant les langues) pour rendre un constat sans appel sur la guerre et l'armée : peu importent les différents bords, rien ne justifie l'avilissement de l'individu. Le dernier acte aborde tous ces thèmes d'une nouvelle façon lorsque Kaji se fait capturer par les russes, avec les problèmes de communication et de compréhension de la langue étrangère (ses actes de survie et de compassion étant interprétés ironiquement comme des signes de rébellion et d'idéologie fasciste), et les japonais réglant leurs comptes avec les leurs au lieu de se serrer les coudes pour survivre ensemble. Un retournement de situation qui boucle la boucle avec le tout début du film, où les oppresseurs deviennent les opprimés, et inversement. Un tel portrait de la condition humaine, aussi dur soit-il, ne pouvait avoir qu'un seul dénouement, qui rend d'autant plus forte et symbolique cette salve contre ce système basé sur la soumission et le sacrifice. C'est le coût pour demeurer un homme.

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La condition de l'homme nous offre ainsi une belle fresque humaine, dure, soulignée par des thématiques profondes et intéressantes, et dressant un constat sans concession contre les principes fondateurs de l'armée et de la guerre qui opposent l'homme à l'homme. Un chemin de croix mené par Kaji l'humaniste qui force le respect, malgré toutes ces longueurs à subir, un jeu un peu trop théâtral (dont l'effet s'estompe avec le temps), et un style austère et néo-réaliste (compensé par un sublime sens du cadrage, un fameux travail des contrastes, et une musique qui prend progressivement place, au risque d'exacerber un déroulement dramatique déjà bien chargé). Ce qui rend parfois compliquée l'émotion que l'on devrait "normalement" ressentir (trop, c'est trop), pourtant bien soulignée par cette histoire d'amour désespérée qui se dessine en toile de fond et éclaire fondamentalement les motivations et paradoxes moraux de Kaji (en agissant ainsi, se rapproche t-il d'elle ou de son humanité ?) qui font que l'humanisme de celui-ci est loin d'être naïf. Une quête qui devient parfois un calvaire pour le spectateur, mais qui en même temps impressionne et enrichit, comme s'il se produisait un exercice de purification pour découvrir l'humanité dans sa plus simple nudité, face à ses propres contradictions. Réquisitoire moral, philosophique, existentiel, et politique contre l'impérialisme japonais sévissant durant la deuxième guerre mondiale, ce film n'est pas moins universel sur les questions qu'il pose, et qui devraient habiter le coeur de chaque être humain.

Kobayashi finit en beauté, et presque tous les griefs que j'adressais à son film se sont dissipés, laissant place à un magnifique portrait d'homme, désespéré de concilier ses idéaux avec la vie qu'il désire rejoindre de tout son coeur.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Jeu 27 Fév 2014, 22:10

Creeps a écrit:Moi je trouve ça inutile de séparer. Il y a une différence entre une trilogie et un film divisé en trois parties.


Alors ça, c'est très discutable.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Jeu 27 Fév 2014, 22:33

Bon au moins, le fait d'avoir référencé en trois fois, ça laissera un peu plus de latitude pour la critique de ce film d'une durée qui peut en décourager plus d'un (dont moi au début). Même si je trouve qu'il y a peu d'intérêt à s'arrêter après la première partie.

Et malgré les points noirs que j'ai relevé (finalement 2-3 : 1) plus tragique tu meurs ; 2) rythme difficile à suivre ; 3) quelques séquences pas très finaudes, surtout au début, et de moins en moins par la suite) ça demeure un bon film, mais pas LE chef-d'oeuvre que j'attendais.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Waylander » Ven 28 Fév 2014, 10:34

Mark Chopper a écrit:
Creeps a écrit:Moi je trouve ça inutile de séparer. Il y a une différence entre une trilogie et un film divisé en trois parties.


Alors ça, c'est très discutable.



Pas tant que ça : on ne construit du tout de la même façon une trilogie et un film unique et indivisible pourtant scindé en Occident... Le SDA par exemple, PJ a pensé chaque partie comme un film à part et ça se voit. Et surtout, certains films ne possèdent pas vraiment deux ou trois parties distinctes donc tu coupes quand si tu veux en faire 2 films ou 3 ? Ca se pense une trilogie, c'est genre tu montes tout et tu coupes à l'arrache. Enfin je pense. :?
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Alegas » Ven 28 Fév 2014, 13:23

Ouais voilà, Way a mis le doigt sur un point très pertinent, à savoir est-ce que le film est divisé parce que le réalisateur souhaitait créer une véritable différence entre chaque opus, ou bien est-ce que le film est divisé par pure décision marketing.

Dans le cas des suites de Matrix que donnait Mark, les deux films ont été tournés en même temps comme un seul et même film, mais de l'aveu des Wachowski ça a toujours été pensé néanmoins comme une trilogie.
Pour Red Cliff, c'est plus compliqué, car le film est sorti en deux parties en Chine et en une seule sortie en France. Après, quand on a vu le film, on peut considérer que John Woo considère son film comme une seule pièce unique, et que la sortie divisée a été faite pour ne pas obliger les spectateurs à se faire 5 heures d'affilée.

Pour le Kobayashi, je ne me prononce pas étant donné que je connais rien du film.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Ven 28 Fév 2014, 13:40

Le film de Kobayashi est structuré comme le roman : 6 parties. Et chaque film qui réunit deux parties, a un sous-titre différent, qui représenterait l'évolution psychologique du personnage principal (par contre je pense que c'est un choix de la distribution occidentale). Donc voilà, je pense que le réalisateur l'a pensé comme une oeuvre unique qui a une profonde unité intérieure et stylistique, mais qui respecte en même temps le découpage du roman avec le passage d'une partie à l'autre, qui d'ailleurs ne s'effectue pas de manière complètement fluide. Sachant que le film a été distribué en trois fois successives au Japon (dont une attente de deux ans pour le dernier de la série).

Donc voilà, à mon sens c'est le genre de film qui ne peut être compris, apprécié, et analysé, qu'en le voyant en entier (important le fait que le titre japonais soit demeuré identique d'un segment à l'autre), mais qui en même temps est structuré de façon à pouvoir être pensé comme une trilogie (voire une oeuvre à 6 parties, j'ai oublié comment ça s'appelle ...) :gratgrat:.

M'enfin bref, je pense que c'était le bon choix de l'avoir référencé en trois fois, pour des tas de raisons, surtout parce que ce film a connu trois sorties séparées au Japon.
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Chocolate - 6,5/10

Messagepar Dunandan » Ven 28 Fév 2014, 21:24

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Chocolate, Prachya Pinkaew (2008)

Bon petit film de tatanes made in Thaïland qui vaut le détour surtout pour son personnage principal très attachant, une fille autiste qui apprend les arts-martiaux en regardant la téloche (avec un gros clin d'oeil à Ong Bak) et en jouant aux jeux vidéos, qui va bourrer le pif aux usuriers de sa mère pour payer des médocs à cette dernière. Si le scénario est tout bidon et cousu de fil blanc, avec une accroche pas terrible, une image DTV qui pique les yeux, et une bande de bad-guy qui frise le mauvais goût (avec des travelos comme sbires), on se rattrape avec un bon rythme (notamment grâce à une bande-son planante) et une histoire qui se révèle assez touchante sur l'acceptation des différences et une bonne petite dose d'humour qui va bien ensemble (clins d'oeil aux films de kung-fu à l'appui). Et bien sûr le principal, l'action. Une vraie Tony Jaa en fille, la petite. Quand elle commence elle ne sait plus s'arrêter. Il lui manque juste peut-être un adversaire de taille (par contre le mec au syndrome de la tourette c'est un grand moment de délire, malheureusement trop court) mais elle nous fait déjà bien plaisir en enchaînant les coups comme une vraie tigresse (technique, vitesse, souplesse, impact), avec une belle montée en puissance, et un final où elle s'éclate à faire tomber tous ses adversaires du toit. Bon pour chipoter, ça ne manque pas de clichés dans les personnages (la fille est métisse Thaï-japonaise et son père yakuza c'est juste épique), c'est un peu creux, et on a parfois l'impression que ça a été filmé par le voisin, mais le côté généreux de la chose (la fille, la baston, et le rythme) m'a permis de passer un bon petit moment sans prétention et prise de tête.
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Lords of Salem (The) - 6/10

Messagepar Dunandan » Ven 28 Fév 2014, 23:40

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Lords of Salem, Rob Zombie (2013)

Après tous les avis que j'ai pu lire ici, je m'attendais à bien pire. On a clairement affaire au moins bon Rob Zombie, mais tout n'est pas à jeter. Partant d'un univers très personnel (le monde de la radio Metal tendance Black), on pénètre lentement dans un trip atmosphérico-fantastique (parfois bien crapsec) célébrant le culte des sorcières de Salem qui m'a rappelé un autre film de Carpenter dont je ne révélerai pas le nom au risque de bousiller la surprise. Un grand MAIS, le gang des trois vieilles m'a plus horripilé qu'horrifié, et certains effets passent du grandiose au grand-guignolesque. N'empêche que j'ai relativement accroché au délire, grâce à la fragilité transmise par Sherry Moon (étonnante dans ce rôle), pour une fois victime d'une folie grandissante vampirisant l'écran, et la capacité de Rob à nous faire passer de l'autre côté. Ainsi, si le visuel n'échappe pas toujours au grotesque, certains plans marquent, et par contre rien à dire du côté des effets sonores et musicaux qui participent grandement à l'ambiance. Bref, un film atmosphérique assez personnel, parfois faiblard sur le plan esthétique et narratif, mais si on se prend un peu au jeu, qui peut aussi se révéler trippant et fascinant, réveillant les vieux fantômes du genre (Carpenter, Polanski, et aussi Raimi "old gen") en les remaniant avec sa patte unique.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Sam 01 Mar 2014, 01:43

Bilan du mois de FEVRIER


Films vus : 35
* 19 découvertes
* 16 revus

- USA : 16
- Japon : 10
- Chine : 3
- France : 3
- Canada : 1
- Thaïlande : 1
- Danemark : 1


Découvertes/coup de coeur :


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Bousasse du mois :


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Pépette du mois :

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Sam 01 Mar 2014, 11:07

Je vais me le faire ce week end Lords of Salem, histoire de voir dans quel camp je suis :mrgreen:

J'vais aussi essayer de me choper Chocolate, j'suis en manque de castagne :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Sam 01 Mar 2014, 11:13

Il y a bien un point commun entre tous les avis du Rob Zombie, c'est que c'est surtout un trip atmosphérique (bon c'est pas du Refn - je pense à son film de vikings - hein il y a quand même une intrigue même si elle est légère) : à prendre ou à laisser.

Chocolate, tu risques de bien accrocher, elle envoie bien la petite, et une fois que t'as passé le cap des 10 min., l'histoire commence même à devenir assez touchante ^^.
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