[Waylander] Mes critiques en 2012

[angel.heart]

le training montage du 4 , en russie , c est pour moi le meilleur

Ah mais carrément, sérieux je kiffe grave de chez grave. Même le combat final avec cette putain de bo!

[Heatmann]

je suis le seul a largement preferer le 4 au 3 ? et ouai la BO du 4 c'est dla bombe

[angel.heart]

Ah bah moi je préfère le 4!

Je kiffe grave!

[Heatmann]

rah ouai le score claque , le war theme la il dechire !! pis meme les titre un peu disco dance 80's de la soundtrack quoi !! Hearts on fire

clique pas way

20 apres j ai toujour la chair de poule moi

en tout cas ca fait plaiz comment Way il kiff et decouvre rocky ! et un 7 pour le 3 c'est bien comme note , il va kiffer le 4 aussi j en suis sur pis l'apotheose balboa ca va etre du lourd mon way , accroche toi au mouchoir !

[angel.heart]

Ah mais moi aussi je kiffe toutes les musiques du 4. Gamin j'avais le cd qui tournait en boucle, c'est du son qui te donne envi d'enfiler les gants de boxe ça.

Après Rocky 4 c'est pas mon préféré mais il a à mes yeux une putain de valeur sentimentale.

Mon ordre de préférence ce serait :

1
Balboa
2 et 4
3
5

Mais bon je les kiffe tous de toutes façon!

[Heatmann]

oh comment je te comprend pareil , je les kiff tous , meme le mal aimer 5 je l aime bien , c'est un film honnet et sincere qui ressemble bcp a rocky himself

mon ordre est le meme que toi sauf que je prefere balboa au 1er , mais apres ouai c est 2 et 4 egalites , puis 3 et enfin 5

tout les cd de chaque episode tfacon c est du bon son qui fout la peche hautement evocateur , le theme redemption c est magnifique !!

[John Lawrence]

Faut que je me les refasse les Rocky, çà fait très très longtemps que je n' ai plus vu les 1 et 2 et j' ai pas encore vu le dernier. Le 5 est clairement en dessous, il est passé ya quelques mois à la téloche. Je lui met quand même la moyenne.

Sinon la BO du 4 j' adore aussi, le training montage pour une petite séance de sac de frappe ou de muscu, ya pas mieux pour se donner de la pèche...

[angel.heart]

Hop c'est bon, là j'ai un Godzilla dans le lecteur mais dès qu'il est fini j'me lance un Rocky direct!

[Killbush]

en tout cas ca fait plaiz comment Way il kiff et decouvre rocky ! et un 7 pour le 3 c'est bien comme note , il va kiffer le 4 aussi j en suis sur pis l'apotheose balboa ca va etre du lourd mon way , accroche toi au mouchoir !

Ouais carrément, je l'ai déja prévenu, Balboa, c'est la boule dans la gorge au bout de 10 minutes et l'explosion de joie et de larmes à la fin (avec des coulées régulières entre les deux). Très rares sont les films qui me mettent dans un tel état, Sly touche en plein coeur avec son chef d'oeuvre

[Heatmann]

tu m'etonne , le parrelle sly/rocky , la longue traverser du desert de ces 2 homme et leur parcour , le vieux copain rocky desabuser , fatiguer , qu on retrouve , pis la scene ou il parle de "la bete qu il a en encore en lui" ou il se confie a paulie dans l abatoir , pffff mega masterpiece , ecriture, mise en scene, continuiter et destin du perso , pis emotion

[elpingos]

Petite aparté :

La puissance du final sur cette musique rappele furieusement la scène de la mort de Kaneda dans Sunshine (dans ce qu'elle évoque, provoque en nous et pour la ressemblance musicale)

Il s'agit du morceau City Surf, composé par Jamin Winans, qu'il a déjà utilisé pour son excellent film Ink. M'intéresse pas mal ce Territoire des loups, Carnahan semble avoir bon goût...

[Alegas]

Conte initiatique animalier, Bambi demeure encore aujourd'hui très touchant par sa pureté , sa naïveté et sa simplicité faite pour les touts-petits et l'autre côté, sous-jacent , pessimiste et visuellement hors-champ qui ravira les adultes par cette seconde lecture plus nuancée. Sans intrigue, l'histoire est tout simplement celle de la vie (métaphoriquement celle des être humains car les animaux parlent et sont à deux doigts de l'anthropomorphisme ne serait-ce que les yeux du faon) , ici principalement forestière (et facilement identifiable puis c'est typiquement un environnement familier des pays de l'hémisphère Nord : une grande partie de l'Europe et les USA ainsi que le Canada contiennent les espèces du film et le genre de forêt à savoir à feuilles caduques principalement) et qui, volontairement mais sans trop insister dessus, cherche à sensibiliser les enfants (et les adultes) à la Nature et aux animaux ou comment immiscer l'écologie sans trop faire réfléchir le public ni trop "intellectualisé le dessin-animé.


Comme un petit poème , Bambi demeure une œuvre fragile, mélancolique et magnifique qui malgré le format 1.33 , déroule des dessins saisissants similaires à des peintures. La superposition de certains dessins permettent une profondeur de champ admirable qui renforce l'authenticité de l'imagerie impressionniste artistiquement plus convainquant que la suite toute lisse et multicolore sans nuance et dénué d'ambiance . Court, peu de dialogues et peu de chansons (toutes chantées en voix-off et non par les personnages ce qui aide le ressentit plutôt positif d'un tel revisionnage malgré l'ambiance "Noël" qui se dégage des chants) , Bambi préfigure certainement le roi Lion qui reprend sous bien des formes la même narration et la même ambition que son prédécesseur. certains "plans" en sont très largement inspirés tout comme l'évolution de Bambi et de Féline (le nom de la biche était-il un signe avant-coureur du futur chef d'oeuvre de la maison ?).

L'histoire de la vie, des bois, des saisons, de l'amour, la découverte de ce qui nous entoure, y trouver sa place et comprendre son rôle en assumant les responsabilités qui lui sont propres....Certains trouveront le ton "niais" mais le fond est loin de l'être car si tout le début et un hymne à la joie, par la suite le film sombre peu à peu dans le réalisme : la Nature bienveillante de la longue intro est remise à sa place et les éléments se déchainent (l'orage, la pluie, l'hiver donc le froid, le feu) quand ce n'est pas l'aura des chasseurs (hors-champ, superbe idée qui est pourtant discutable car l'Homme n'a pas sa place dans Bambi et sa seule existence l'est par un traitement manichéen qui le catalogue comme chasseur donc tueur et destructeur ou comment mettre l'Homme en dehors de la Nature alors qu'il en fait partie mais d'un autre côté c'est tout simplement une critique de la chasse et de ses méfaits, souvent gratuits car pratique exclusivement sportive. En permettant aux gamins de s'identifier au héros, donc un animal, et de ne pas monter les humains tout en les suggérant allégrement , Disney tente le pari de mieux "toucher" et d’éveiller les consciences. Le Roi Lion peut quant lui s’interpréter comme une évolution de Bambi : les hommes ne sont pas du tout présent donc aucun jugement sur eux n'est fait et le ton est bien plus adolescent, voir carrément adulte sur la fin avec des combats insistants, avec ralits et fratricide plein champ et terrifiant là où Bambi est peut-être trop réservé, plus suggestif et à destination de plus petits) ou la mort de la mère mais encore le duel avec l'autre cerf. Un des plus beaux Disney de par la naturalisme mi-réaliste mi-impressionniste qu'il dégage et par l'épuration de son intrigue qui nous le dévoile comme un hymne, un chant ou une poésie forestière touchante et universelle.

[Killbush]

[Waylander]

Le hibou de Bambi on dirait Scalp. (pas la tronche hein mais le caractère vieil aigri).

[Killbush]