[Scalp] Mes critiques en 2010

[Scalp]

5/10

The Killer Elite de Sam Peckinpah - 1975

Peckinpah + Caan + Duvall + Ninja : sur le papier ça doit faire envie à toute personne normalement constituée (entendre qui trouve pas la saison 2 de Last of Us sympa et se touche pas devant le trailer du dernier Del Toro) !! mais voilà a l'écran c'est pas une franche réussite pourtant c'est coincé entre 2 de ses meilleurs films : Alfredo Garcia et Croix de Fer, c'est vraiment avec ses 2 derniers films qu'il est partie en couille en mode l'alcool c'est mieux que tout le reste.
L'histoire se suit plus ou moins : Duvall trahit Caan lors d'une mission et le blesse en le laissant infirme, du coup pendant 30 minutes on a Caan qui réapprend à marcher et tombe amoureux de son infirmière puis il est contacté par ses anciens employeurs pour reprendre du service malgré son infirmité ( bein oue y marche quand même avec une canne, ça le fait moyen pour un bodyguard ).
Sa nouvelle mission : protéger un chinois (à noter que même les chinois sont des ninjas dans le film, pas foutu de différencier les bridés) que Duvall et une bande de ninjas doivent tuer, pourquoi on sait pas et on s'en fout.
Le film d'art martiaux étant à la mode à l'époque (merci Bruce Lee pour cette mode qui a donné beaucoup de merdes) on a donc ici des scènes de fight et c'est quand même bien honteux à regarder alors oue Caan et Burt Young ( oui oui c'est bien Paulie) sont des bons acteurs mais les voir foutre une branlée à une bande ninja en leur mettant des claques faut ptet pas abuser ( on dirait Bud Spencer et Terence Hill et je déteste Spencer/Hill), surtout que Caan y se fight avec sa canne d'infirme, ça doit être le club des cotorep (la team à Artus quoi) de ninjas en face, le tout est même pas sauvé par un montage approximatif ( pourtant c'est monté par Monte Hellman qui n'est pas un manchot). La scène de voiture dans les rues de San Francisco est vraiment pas ouf, surtout en comparaison des polars italiens que je mate en ce moment.

Le même film avec une vraie bande de tueurs et pas des gars en pyjama aurait eu plus de gueule, parce que niveau rythme ça va on s'emmerde pas trop et le script fait forcément espionnage 70's, bon c'est pas non plus un script aussi abouti que celui des Trois jours du Condor hein, car il y a un petit fumet de nanar par momentLa réalisation de Peckinpah est loin d'atteindre des sommets ( une fois de plus il filme sous l'emprise de la coke, mais bon ça veut rien dire car sur Croix de Fer il était constamment bourré et son film est un chef d'oeuvre ), il met en veilleuse sa violence habituelle ( à part le premier mort bien graphique ) et emballe des scènes d'action plus que moyenne au vue de son talent, on pourrait même dire que c'est naze par moment.
Bon heureusement y a des trucs sympas la première attaque est pas mal bon faut oublier le fait que Duvall le super killer est même pas foutu d'avoir une cible immobile et qu'au lieu de prendre un bon vieux fusil a lunette pour ajuster y mitraille dans le tas ( ça le fait pas trop niveau crédibilité et c'est pareil quand Hopkins lui tire dessus, pourquoi il tire pas de sa planque, ça n'a aucun sens) après les acteurs sont vraiment bons, Caan assure bien dans son rôle avec des bons petits dialogues badass, Duvall nickel (sauf la scène ou y rigole comme un gogol) dans un rôle loin de ce qu'il faisait, Burt Young et Bo Hopkins en barbouse c'est bien aussi, on retrouve Mako dans son rôle attitré d'asiatique dans les films ricains.
Peckinpah fera bien pire par la suite (Le Convoi s'est compliqué) mais ici ça vole vraiment pas haut et par moment on a quand même des bons relents de nanar et c'est dur de dire ça d'un Bloody Sam, allez la moyenne pour quelques petits truc mais bon ça vole pas haut.

[Heatmann]

je l'ai , je l'ai vue , je le garde ( peckinpah pis duvall et caan quoi ) mais alors j'en ai absolumnent zero souvenir quoi me souvenait meme pas de ninja

[Scalp]

Major Dundee Sam Peckinpah - 1965



"Don't get yourself killed... That would inconvenience me. "

Film prévu pour John Ford au départ et un film de convoi by Ford c'est chiant donc heureusement que c'est Peckinpah qui réalise et l'approche crépusculaire est bien là mais si c'est pas encore aussi aboutit que les chefs d'oeuvre à venir du réal.
Bon c'est bien mais avec Peckinpah m'attendais quand même a mieux, on y retrouve tout l'amour de Peckinpah pour les perso peu recommandable malheureusement ici c'est un peu édulcoré sur la fin, on dit merci les producteurs qui referont le montage à leur sauce ( ce qui donne lieu à des erreurs dans l'intro le narrateur du film annonce qu'il est le seul survivant alors que à la fin bein il est loin d'être seul ), d'ailleurs Heston a renoncé à son salaire en contrepartie que Peckinpah soit garder.
A la suite de ce film les problèmes avec les producteurs sont allez en s'empirant film après film, il a d'ailleurs été virer dès les premiers jours de tournage du Kid de Cincinnati ( remplacé par Jewison, enfin Peckinpah retrouvera quand même McQueen et lui donnera l'un de ces meilleurs rôles dans Guet Apen ).
Le pitch c'est donc le majeur Dundee qui monte un régiment hétéroclite pour aller retrouver des gamins kidnappés par indiens et par la même occasion tuer le chef indien, mais rapidement les gamins sont retrouvé et donc la mission est en parti accompli mais Dundee veut quand même la peau de cet indien quitte à sacrifié tout ses hommes pour y arriver, l'intérêt majeur du film c'est qu'ici Dundee a sous ses ordres des indiens, des sudistes, des civils et des blacks ce qui pimente un peu tout ça.

Les tensions ne sont pas trop palpable ( et elles disparaissent complétement à la fin avec la scène du drapeau un peu abusé ) alors que l'on retrouve dans le même camps à la poursuite d'indiens sanguinaires : des nordistes, des sudistes, des noirs, des voleurs, un prêtre, des indiens.
Alors que pendant une heure niveau script c'est exemplaire ( la phase recrutement est excellente ) ça multiplie les péripéties de manière un peu bancale et on bouffe de l'ellipse un peu rude, ainsi la poursuite des indiens est mit en parenthèse pour être carrément expédie en 2 minutes à la fin par contre j'aime bien comment meurt le chef apache "He look so small now".
Les relations entre les personnages sont un peu light à part la rivalité Heston/Harris, le reste est pas traité, c'est dommage car vu le nombre de super acteur et de personnages potentiellement intéressant y avait tout pour faire un grand film, d'ailleurs voici des déclarations de Peckinpah au sujet du film :

Peckinpah (in "Cinéma 69", n°141) : "MAJOR DUNDEE est un film tellement massacré au montage que je suis surpris quand on me dit y trouver quelque chose de construit et de personnel (...) Vous connaissez le geste de Heston rendant son salaire pour que je puisse poursuivre le film à mon idée; mais c'est au montage que le producteur a agi, mutilant de vingt-cinq minutes un film qui durait initialement deux heures trois quarts. La séquence d'ouverture fut coupée, ainsi que la fin du film où tous devaient trouver la mort sans trouver Charriba. Le rôle de Warren Oates a été le plus sacrifié de la distribution; il ne subsiste pratiquement que sa mort; un combat au couteau entre Coburn et Mario Adorf, ainsi qu'un plan où un soldat voulant boire dans le fleuve recueille une eau rouge de sang ont également disparu (...) c'était très important pour la signification du film que Dundee ne rattrape pas Charriba, car je voulais montrer que cette quête était un but en elle-même, qu'il s'agissait d'une poursuite mythique sans fin. Je suis obsédé par les êtres dont l'action constitue une fin en soi. Teresa exprimait la morale en disant à Dundee : "Pour vous, major, la guerre durera toujours."

Les scènes d'action bien que épique ( des centaines de cavaliers se foutent sur la gueule ) se révèle décevante ( y a même des faux raccord flagrant ) et un peu bordélique, au vue des ces séquences jamais on peut imaginer The Wild Bunch qui suivra ( par contre y a certaines idée qui seront reprise comme la fête dans le village mexicain, Peckinpah étant un amoureux du Mexique, des mexicaines et de la téquila ), ici ça parait vraiment sage ( pas de violence graphique, pas de sang ou presque, pas de recherche esthétique des gunfight : ça se contente de on fonce dans le tas et on film en champs contre champs ), le combat final contre les français on se demande comment ils peuvent s'en sortir, aucune stratégie tout le monde se tire dessus à bout portant et vu le nombre de français y avait aucune chance pour qu'ils s'en sortent, enfin ça permet d'avoir une magnifique scène avec la dernière de Harris chargeant tout seul ( et ça c'est du pur Peckinpah ).

Le film vaut surtout pour son casting 4 étoiles ( que des acteurs qui retravailleront avec Peckinpah par la suite ) : Charlon Heston impeccable en Major Dundee, soldat un peu raté ( il tombe bêtement dans une embuscade ), homme de principe qui ne tergiverse pas quand il doit prendre une décision radical ( fusillé un soldat c'est pas un problème pour lui ) et qui fera tout pour mener a bien sa mission et ainsi avoir les récompenses qu'il pense mériter ( par sa faute un village sera massacré et il s'en fout complétement ), quand il regarde ses hommes c'est soit avec hostilités soit avec condescendance ( le seul qui échappe à ce traitement c'est finalement Coburn ), j'aime bien aussi comment l'histoire d'amour est traité alors qu'on pense que Dundee est amoureux le voila qui couche avec la première mexicaine venue ( ce qui donne lieu à une petite scène qu'on a pas l'habitude de voir dans un Peckinpah ), l'obsession de Dundee est aussi pas assez retranscrit ( un truc à la Capitaine Achab ça l'aurait bien fait car là pendant un moment c'est carrément mit de coté et on en parle plus du tout ), Heston n'était pas un acteur au registre très diversifié mais ce genre de personnage il savait le faire à la perfection, James Coburn en éclaireur a qui y manque un bras ( génial une fois de plus ) est un perso bien sympa et on regrette de pas le voir un peu plus, Richard Harris ( dont l'un des derniers rôles est Marc Aurèle dans Gladiator ) en ex nordiste ami de Dundee devenu sudiste est un excellent personnage, le plus noble du film et le plus intéressant d'ailleurs j'aime bien le basculement qu'il y a dans le film à savoir qu'on pensait que le héros était Dundee bein finalement c'est le personnage de Harris qui va s'affirmer et être la vrai figure héroique du film, Ben Johnson ( comme dans tout les westerns de l'époque quoi ) Warren Oates ( trop petit rôle ), JG jones, Slim Pickens, RG Amstrong enfin toute la clique de Bloody Sam et on a même un acteur récurrent du ciné italien des 70's en la personne de Mario Adorff, d'ailleurs dommage que certains perso soient autant mit de coté : Johnson il a 3 lignes de dialogues a tout cassé et Oates a peine plus ( son rôle été sacrifié par la prod ), et puis on a Senta Berger et son petit haut mouillé c'est très agréable à regarder.

C'est un western sympa, y a clairement d'excellente chose dedans mais clairement on passe a coté d'un grand film et c'est fort dommage.

6,75/10

[Heatmann]

ah bah dundee c'est un gros clash entre le prod jerry bresler et pekinpah , et malgre l'appuie de le soutien de heston il a pas eu le dernier mot , pekinpah a dit vouloir faire une reflexion sur la naissance d'une nation et bresler voulais juste un western spectaculaire et distrayant , d'ailleur lbresler a couper 40 minutes de la version final de sam , donc ca devait avoir une autre gueule .
malgre tout j'aime bien ce resulta final , il s'en degage un souffle prenant , et la narration ponctuer d'eclaire de violence et l'oppositino dundee/tyreen en fait pour moi quand meme un excellent film en depis de son statue de "film brise "

[Scalp]

L'évolution des personnages dans le film c'est clairement pas du Peckinpah ça saute aux yeux que ça été coupé ( c'est trop "tout public" et pas assez noir ) et malheureusement ce qui reste donne quand même un truc bancal et en plus pour ces scènes d'actions y s'est pas foulé.

[Heatmann]

ah bah ouai tu les sent les 40 minutes qui on disparue , c'est ca les faux raccord , bresler a du tout virer les truc trop " peckinpien" et a essayer de monter son truc aventurier commercial , bon c'est certainement maladroit mais y a de beau reste .

[Scalp]

Non y a aussi des faux raccord lors des scènes de combat notamment la fin : plan 1 : cavalier groupé, plan 2 : canon qui tire : plan 3 : le boulet éparpille tout les cavaliers et certains meurt, plan 4 : recoup de canon , plan 5 : tout les cavaliers sont regroupé et y a pas de cadavre WTF
Sinon les 40 minutes ça se ressent surtout lors de la seconde partie du film, pendant 1 heure le rythme général est assez lent ( 30 minutes par exemple pour la phase recrutement ) mais dès qu'on arrive au Mexique ça part en couille avec des ellipses bizarre et des personnages qui n'évoluent pas, c'est dommage je suis sur que la version de Peckinpah aurait donné un putain de film.

[Heatmann]

exactement , bon toi c'est frais , moi jte dit ca de tete , vue y a genre 3/4 ans , sinon la DC de sam la dans le genre on la verra jamais , c'est une certitude !! mais je maintient j'aime bien .

tient je vien de m'acheter le film avec Mcqueen de peckinpah sur un mec qui fait du rodeo , junior bonner , ca devrait bien me plaire ca , j'aime bien tout les truc de bouzeux a theme et feeling western , comme la country ( walk the line , crazy heart , tender mercies ) , le rodeo , les film dans le montane ( une vie inacheve , legend d'automne , de si jolie cheveau , 3 enterrement ...)

[Dunandan]

8/10

Sang gong kei bing de Johnny Mak - 1984

Voilà le père du polar urbain made in HK qui a engendré une bien belle famille ( bon il a eu des fils indignes aussi mais c'est comme dans toutes les familles) et putain ça fait pas rire, le film pose les bases d'un genre qui fera les beaux jour du ciné de HK ( un cinéma qui aura survécu près de 15 ans à la rétrocession mais aujourd'hui il est mort et enterré ), alors oui c'est vrai qu'il y a eu 2 autres films avant qu'on peut rentrer dans la catégorie polar : L'enfer des Armes de Tsui Hark et Men from the gutter ( faudrait vraiment qu'un éditeur se penche sur ce putain de polar ) mais ce Long Arm est reconnu comme le vrai premier polar urbain et sans ce film on aurait surement pas eu les polar ( Heroic Bloodshed ) de Woo, Le Syndicat du Crime est sorti très peu de temps après.
L'évolution des personnages fait toute drôle quand même puisqu'on y voit des bons gars au têtes bien sympathiques ( et non des gangsters en costards ) devenir des tueurs sans pitié, bon à la base c'est quand mêmes des immigrés qui entrent à HK pour braquer une bijouterie mais c'est pas des tueurs sanguinaires, juste des losers qui aimeraient bien avoir une vie meilleure ( les scènes ou eux chinois découvrent le "luxe" de HK sont excellentes ) et pour cela ils sont près a tout et ils vont sombrer dans une violence qui sera leur seul recours pour s'en sortir et les premières emmerdes arrivent vite ainsi que des pétages de plomb surprenants ( le passage avec la prostituée ).
Le début du film est laborieux, les acteurs sont tous plus ou moins inconnus ( Mak a auditionné 500 personnes pour trouver ses acteurs, on reconnait quand même Tommy Wong dans un petit rôle ) et manque de personnalité, on nous les présente pas du tout, du coup pendant 30 minutes on a dut mal a rester captiver, leurs motivations sont très sommaires puis après leur premier échec ( scène très réussie ou on voit que ça a été filmé sans autorisation ) on commence a comprendre qui est qui et leur relation d'amitié fonctionne, ça devient plus agréable à suivre.
Ici on est quand même loin des polars de Woo ( même si on y retrouve l'amitié ciment du groupe et un putain de mexican stand off qui m'a foutu la trique immédiatement ) qui mettent en scène des hommes d'honneur ne tuant jamais gratuitement, ici l'approche est plus celle d'un Kirk Wong période OCTB ou d'un City of Fire de Ringo Lam ( la violence y est traitée de la même façon bien cash et y a même du cul ) et le filmage a l'épaule donne un sentiment d'urgence permanent, ici ça surprend, le premier meurtre j'y croyais pas de voir le petit gros tout gentil vider son chargeur sur un gars ( la chute qui suit est énorme avec le cadavre qui glisse sur la glace et laisse du sang de partout ) et après tout s'enchaine rapidement pour se terminer sur un meurtre de femme totalement gratuit et bien violent.
L'atmosphère du film devient de plus en plus lourde pour virer au glauque dans sa dernière demi heure et le mot manichéisme est banni de ce film, ici pas de gentil ou de méchant, juste des gars qui sont tombés du mauvais coté et des flics là pour les arrêter et mieux vaut ne pas se trouver entre les 2.
Le final dans les ruelles labyrinthique sombre de Kowloon envoie du lourd ( putain de maitrise de l'espace sur cette séquence avec un emploi de la caméra à l'épaule très judicieux ), ce plan sur la chute pouah, c'est très explosif et sans concession ( utilisation d'innocent comme bouclier humain, massacre d'une pauvre femme ) et sacrément bien foutu malgré un manque de moyen évident ( tout en étant très sec ça reste stylé ), c'est bien hard-boiled et y a quelques insert bien sanglant ( l'oreille notamment ), on assiste tout simplement à l'un des plus grand climax du genre ( et pourtant des climax monstrueux y en a des tonnes dans les polars HK ).
La fin fait vraiment penser à The Wild Bunch avec une issue que l'on sait inéluctable mais la séquence s'étire au maximum.
Un putain de film noir et désabusé, et c'est vraiment dommage que Johnny Mak n'ai plus rien fait après.
Par contre des fois y a des choix de musique un peu autre et ça colle pas à l'ambiance du film, enfin de manière générale la BO est pas ouf.
Bon c'est pas un chef d'oeuvre mais c'est clairement un film majeur de HK qui a créer un genre à lui tout seul et dont le dernier héritier aura été Johnnie To qui avant de faire des polars "cool" a oeuvré dans le genre avec notamment The Big Heat ou The Longest Nite qui étaient vraiment des films bien méchants.

[Heatmann]

aux rhytme ou vont les choses ( ben ouai vue le nombre de nouvauter et de "vieux" film que je me prend , + les truc que j'ai envie de revoir ) , et au vue de la hauteur de ma pile de dvd a voir et la longue liste de " a acheter " , celui la jle verrai dans 8/9mois
bon tu cite longest nite qui poutre grave , et pis kirk wong , lam , to , que du polar pas pour fillette , et si c'est le fameux precursseur ..

[Scalp]

Ouep y devrait te plaire celui là, des fois les films "précurseur" ça subit mal le poids des années bein ici ça reste vachement efficace malgré un budget ridicule, par contre c'est dommage que ce film soit "inconnu" ça mériterait bien une petite sortie fr.

[Heatmann]

en + si ca sort en france , tu racheteras car tu pourras pas resister , et hop je recupere tes 2 zone 3

[Scalp]

C'est des zone all

[zack_]

Tu regardes le 1 après le 3 toi?

[Scalp]

C'est pas des suites, les films ont rien a voir entre eux, c'est une spécialité HK.