Modérateur: Dunandan
Mark Chopper a écrit:La mode des années 2010 consiste à faire des suites de merde qui permettent de réévaluer des purges.


| Assaut | 
|  Réalisé par John Carpenter | 
| 8,5/10 | 
| Film: Assaut Note: 7,5/10 Auteur: Jack Spret | Film: Assaut Note: 2/10 Auteur: Solodzo | Film: Assaut Note: 8/10 Auteur: Tarankita | Film: Assaut Note: 10/10 Auteur: angel.heart | Film: Assaut Note: 10/10 Auteur: Jed_Trigado | 












| Double détente | 
|  Réalisé par Walter Hill | 
| 7/10 | 
| Film: Double détente Note: 5,5/10 Auteur: pabelbaba | Film: Double détente Note: 7/10 Auteur: Kareem Said | Film: Double détente Note: 6,5/10 Auteur: jean-michel | Film: Double détente Note: 5,5/10 Auteur: Alegas | Film: Double détente Note: 6,75/10 Auteur: Scalp | 





| Le Doulos | 
|  Réalisé par Jean-Pierre Melville | 
| 8,75/10 | 
 Jean-Pierre Melville, le maître du polar français surfe sur les codes du film noir américain pour nous livrer une superbe adaptation du roman éponyme de Pierre Lesou. Le plus américain des cinéastes français, nous déclare son amour pour ce courant cinématographique  qui connu son heure de gloire dans les années 40/50, en truffant son film de symboles : voitures américaines, décors intérieurs et  paysages suburbains qui donnent l’impression que l’action se situe de l’autre côté de l’Atlantique (scène du réverbère qui rappelle le Faucon Maltais, cabine téléphonique typique des mégalopoles américaines, barman qui sert du bourbon ou du scotch,  manchettes et gros titres des journaux utilisés pour faire avancer l’intrigue, les night club s’appellent le New York ou le Cotton Club, le bureau du commissaire Clain est la réplique de celui de City Streets, Chapeau mou et imperméable sont empruntés au Philip Marlowe du  Grand Sommeil…),  j’ajouterai que le personnage de Silien rappelle le Dix Handley de Asphalt Jungle avec une part d’ombre plus visible et que Faugel avec son air fatigué n’est pas très éloigné du Tony le Stéphanois de Jules Dassin.
Jean-Pierre Melville, le maître du polar français surfe sur les codes du film noir américain pour nous livrer une superbe adaptation du roman éponyme de Pierre Lesou. Le plus américain des cinéastes français, nous déclare son amour pour ce courant cinématographique  qui connu son heure de gloire dans les années 40/50, en truffant son film de symboles : voitures américaines, décors intérieurs et  paysages suburbains qui donnent l’impression que l’action se situe de l’autre côté de l’Atlantique (scène du réverbère qui rappelle le Faucon Maltais, cabine téléphonique typique des mégalopoles américaines, barman qui sert du bourbon ou du scotch,  manchettes et gros titres des journaux utilisés pour faire avancer l’intrigue, les night club s’appellent le New York ou le Cotton Club, le bureau du commissaire Clain est la réplique de celui de City Streets, Chapeau mou et imperméable sont empruntés au Philip Marlowe du  Grand Sommeil…),  j’ajouterai que le personnage de Silien rappelle le Dix Handley de Asphalt Jungle avec une part d’ombre plus visible et que Faugel avec son air fatigué n’est pas très éloigné du Tony le Stéphanois de Jules Dassin.| Film: Doulos (Le) Note: 9/10 Auteur: Scalp | Film: Doulos (Le) Note: 6/10 Auteur: Alegas | Film: Doulos (Le) Note: 6,5/10 Auteur: Mr Jack | Film: Doulos (Le) Note: 8,5/10 Auteur: osorojo | Film: Doulos (Le) Note: 7/10 Auteur: lvri | 


 alors pour lui le Doulos c'est le meilleur script de l'histoire du ciné.
  alors pour lui le Doulos c'est le meilleur script de l'histoire du ciné.





 j'aime beaucoup ta conclusion, qui s'accorde d'ailleurs avec la mienne.
 j'aime beaucoup ta conclusion, qui s'accorde d'ailleurs avec la mienne.

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