[Dunandan] Mes critiques en 2012

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 06 Mai 2012, 15:26

Je me suis dit aussi qu'il pouvait penser ça : "je me fais bien chier, allez je vais emmerder celui d'à côté pour passer le temps, en plus ça faire une belle blague, il va croire que je suis gay et il sera traumatisé toute sa vie à chaque fois qu'il ira au ciné". :mrgreen:
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Kill - 8,5/10

Messagepar Dunandan » Dim 06 Mai 2012, 20:57


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Kill, Kihachi Okamoto (1985)

Après avoir réalisé le ténébreux et génial Sabre du mal, Kihachi Okamoto nous concocte un autre chef d'oeuvre du genre, mais avec un traitement à l'extrême opposé, mélange de tragédie et de comédie à la manière de Sanjuro. D'ailleurs le lien entre les deux films est tout à fait justifié, puisque leur scénario est issu du même livre, Jours de paix de Shugoro Yamamoto. Comme la plupart des films de samouraï de cette époque, Kill participe à la démystification du samouraï.

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Le fond est classique, avec des paysans et leur révolte matée par des samouraïs, point important afin de comprendre la motivation de chacun, qui veulent garder toutes les richesses et la meilleure nourriture pour eux, ces derniers utilisant leur armée de manière machiavélique pour masquer ainsi leur activité illicite aux yeux des chefs politiques. En outre, les combats ne figurent pas parmi les meilleurs ni les plus prolifiques du genre, bien que ce ne soit pas mauvais non plus et qu'on ait droit à quelques détails gores. Pour le spectaculaire, il faudrait plutôt lui préférer les Misumi, les Gosha, ou même le Sabre du mal. Par contre le traitement de l'histoire, les personnages qui les composent, et la manière dont les codes sont mis en jeu, sont tout à fait jouissifs, et constituent tout l'intérêt de ce film.

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Malgré un traitement original, la patte du réalisateur est présente dès le début, rappelant ses films les plus connus (Le sabre du mal, Zatoïchi contre Yojimbo). Le vent qui souffle, un village complètement délabré, désert, constitué seulement de quelques pauvres diables qui se retrouvent au même endroit, leurs ventres couinant par manque de nourriture, et à l'affût de la moindre denrée comestible. Ainsi, une ambiance crépusculaire à la manière des western spaghetti se met en place, avec une chouette musique de Sato (encore lui : une valeur sûre dans le milieu). Les décors sont assez variés avec en plus du village, le bordel, quelques intérieurs de maisons du gouvernement, des extérieurs de montagne, et enfin un abri dans les hauteurs qui sera la plaque tournante de l'aventure.

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Trois destinées, trois hommes se croisent au hasard dans le village : un yakuza (ancien samouraï), un aspirant samouraï, et un véritable samouraï. Le premier (Nakadaï) ressemble à Sanjuro, le personnage de Kurosawa. Il partage avec lui un regard désabusé et ahuri, et en même temps malin, ironique, cachant bien son jeu derrière son aspect négligé, et également le même principe de non-violence, ne l'utilisant qu'en cas d'extrême nécessité. Le second personnage de la bande est un peu idiot et naïf mais brave et fort comme un boeuf (il faut le voir soulever une poutre à lui tout seul). Il souhaite devenir samouraï pour défendre les pauvres sans connaître leur véritable nature (véritables hypocrites derrière l'image de chevaliers protégeant la veuve et l'orphelin), et se fera enseigner par l'ex-samouraï, dans un cadre tantôt dramatique, tantôt insolite. Et enfin le samouraï se retrouve dans ce sombre complot politique, moins par pure loyauté que pour des motifs égoïstes, afin de racheter une prostituée qu'il veut prendre pour femme.

Une fois le complot politique lancé, les intrigues s'enchaînent et s'entrelacent, et j'avoue que j'ai eu un peu de mal à tout retenir, mais ça devient de plus en plus limpide au fur et à mesure que l'histoire avance. Le tragique et le comique se font écho de manière efficace, sans que ça devienne lourd d'un côté comme de l'autre. Ce qui donne une mise en scène à la fois enjouée et profonde. Il y a de nombreuses situations qui font mouche du côté de l'aspirant samouraï, ex-paysan, à la fois drôle, touchant et pathétique, un peu perdu et décalé dans cet univers qui n'est pas le sien. Puis, il est jouissif de voir l'ex-samouraï passer d'un camp à l'autre, apportant une petite touche d'espionnage au récit, et produisant ainsi de nombreux retournements de situation. Enfin, il y a aussi une petite partie allouée aux histoires d'amour que je vois traiter de cette manière pour la première fois dans le genre du chambara, avec la prostituée préférée naturelle plutôt que maquillée, puis la femme qui vient aider son amoureux mais qui apporte également une tension nouvelle au sein du groupe d'hommes réfugiés dans la montagne, la moitié d'entre-eux étant des anciens prétendants. La fin est assez belle dans le genre, à la fois optimiste et délivrant un message fort : pour une fois, le "sauveur" n'est pas mis à l'écart des joies de la victoire, sans que l'ébranlement classique du mythe du samouraï soit oublié, laissant place à une oeuvre plus humaniste (ce pour quoi il était voué à la base).

Bref, le script est riche, complexe, mais jamais lourd même si on peut être parfois perdu dans les nuances de l'arrière-plan politique. Il rentre donc parmi mes préférés du genre, sa fraîcheur de ton y étant pour beaucoup.
Un chambara au fond classique, mais avec un traitement tragi-comique à la Sanjuro tout frais, produisant des péripéties jouant avec brio avec les codes du genre. Une petite perle, qui pour une fois sait se montrer optimiste et drôle tout en délivrant un message fort.
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Election 1 - 7,75/10

Messagepar Dunandan » Lun 07 Mai 2012, 04:45

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Election 1, Johnnie To (2005)

Sans être la claque que fut Le parrain, Johnnie To signe ici probablement l'un des meilleurs films de mafia chinoise. Pour mettre en valeur son sujet, sa mise en scène se fait d'ailleurs beaucoup plus discrète qu'à l'accoutumée bien que toujours bien présente, ne comptant aucune fusillade surréaliste, ou autre effet stylistique. Le cadre est travaillé mais de manière mesurée. Enfin, l'humour décalé est complètement absent de cet opus, et la violence apparaît d'autant plus cinglante et parfois inattendue. Cette sobriété a certainement pour corollaire une volonté affichée de la part du réalisateur de dénoncer ce réseau criminel de la manière la plus directe possible.

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En un mot, la mafia chinoise est tradition, à l'image de la mafia italienne, qui possède d'ailleurs beaucoup de traits communs avec cette dernière, entre conflits internes et signes de paix temporaires (exemple : l'heure du thé), guidée par un chef spirituel (l'ancien). La première scène est un modèle du genre, ressemblant en tout point à l'introduction du Parrain : en apparence, des activités respectables se déroulent, mais en coulisse, les affaires illégales vont bon train. La question du secret de l'identité des membres est bien soulevée : les policiers les connaissent, souvent par leurs noms de code, mais ne peuvent pas les arrêter directement, puisque leurs membres et leurs têtes communiquent incognito. A l'élection qui se prépare, deux candidats représentent la tendance générale : d'un côté, le respect de la tradition et la promesse de l'harmonie, de l'autre, la promesse de l'argent facile, du changement, et la fanfaronnerie. De nouveau, il y a une atmosphère du changement des temps, appuyée par une bande-son entêtante, bien qu'il ne s'agisse pas ma préférée des films de To.

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Une fois l'élection passée, l'enjeu narratif portera sur le bâton qui se transmet de chef en chef, tradition ancestrale poursuivie génération après génération. Malgré la qualité d'écriture, je trouve que cette partie manque d'entrain et de renouvellement en péripéties, ce qui est paradoxal, car elle est la moins avare en action. Il s'agit d'une course-relais où les trahisons et les alliances, reflet du degré d'influence de chacun des candidats, ne manquent pas. Les coups fourrés sont nombreux, et montrent à quel point le respect de la tradition peut produire des sacrifices individuels.

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Par contre, les trente dernières minutes valent vraiment le détour, car elles nous racontent l'histoire de la Triade, puis mettent le doigt sur les nouveaux sacrifices qu'impliquent une telle élection. A la fin, tout passe derrière : amitié, famille, individu (d'ailleurs on coupe une tête, une autre repousse automatiquement à sa place). Les deux scènes les plus fortes se produisent dans l'immobilité, un effet de mise en scène courant chez le réalisateur mais réalisé ici de façon toute simple, qui représente tout à effet d'une part la volonté d'harmonie du nouveau Parrain et à l'issue de laquelle se décidera la guerre ou la paix, et d'autre part l'effet monstrueux de sa personne qu'il peut communiquer à ses proches (ce décalage entre calme intérieur et violence explosive ressemble beaucoup aux yakuzas de Kitano). Au fond, la tradition n'est qu'un paravent, une hypocrisie, et l'enrichissement est le seul paradigme. L'unique lien avec les anciennes valeurs est la politesse, rien d'autre.

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En conclusion, je le trouve un peu moins passionnant que d'autres films tels que The Mission, Exilé ou encore PTU, faute à un corps narratif suffisamment palpitant. Mais le grand mérite de Election est de présenter, sans esbroufe et de manière réaliste, les contours de la mafia chinoise, avec son fonctionnement, son arrière-plan historique, symbolique, et philosophique, ainsi que son visage double. Probablement l'un des meilleurs scripts de To, ce qui n'est pas difficile en même temps puisque ce dernier fait avant tout des films d'ambiance. J'aurais quand même aimé un peu plus d'ampleur ici et là en étant un peu difficile, car To passe assez vite sur certains éléments du récit, je pense notamment aux scènes familiales et au changement de camp du candidat adverse. Puis il manque une scène d'action majeure en lien avec la dramaturgie, même s'il y a des séquences violentes marquantes (surtout celle de la fin), ce qui sont deux choses différentes pour moi. Il s'agit aussi de la consécration de Simon Yam, qui apporte une grande crédibilité au personnage du nouveau Parrain par son caractère calme et ambivalent. On imagine mal comme ce père de famille à l'allure inoffensive peut devenir une telle ordure. D'autres acteurs fétiches du réalisateur sont reconnaissables, offrant de nouveau un très bon casting, malgré quelques personnages un peu sous-exploités (surtout ceux qui sont à la recherche du bâton).


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Une mise en scène sobre au service de son sujet. Le script est très bon, mais par contre la course-poursuite au bâton traditionnel, bien que symboliquement primordiale, manque d'enjeux narratifs importants. Tout de même l'un des meilleurs films du genre.
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Dog Bite Dog - 8/10

Messagepar Dunandan » Mar 08 Mai 2012, 02:50

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Dog Bite Dog, Soi Cheang (2007)


Alors d'abord, en regardant le script et la couverture du DVD, j'avais craint de retrouver un suranné de Danny the Dog. Mais heureusement rien à voir entre les deux films. En fait, je n'ai pas reçu une telle claque cinématographique d'un film asiatique contemporain depuis Old Boy. Un film sans concession, à l'esthétique démente dotée soit d'un filtre jaune voilant la lumière naturelle soit d'une lumière bleutée et froide, produisant un sentiment d'oppression et de mort. Une caméra à l'épaule toujours en mouvement tout près des corps, des prises de vue dérangeantes quasi schizophrènes, et plein de bruits sonores ou d'effets qui ont pour but de nous mettre mal à l'aise. Des scènes de violence brutes, bestiales, sans intention de les rendre lisibles. Bref, une mise en scène qui me fait penser à du Tsukamoto (réalisateur de l'OFNI Tetsuo) à la sauce polar. Cette réalisation prend à contre-pied les polars HK plus classiques et stylisées à la manière de John Woo ou de Johnnie To. Enfin, les deux acteurs principaux que je ne connaissais pas sont vraiment au top. Puis c'est surprenant de voir la seule gueule identifiable disparaître aussi vite. On ne sait vraiment pas qui va y passer, produisant ainsi une bonne petite tension.

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L'intrigue est assez simple, s'autorisant des raccourcis narratifs assez grossiers (je n'ai pas compris par exemple comment les deux acteurs principaux se retrouvent à la fin) ou de coupures de rythmes importantes (nous passons d'une oeuvre profondément noire à une seconde partie versant pratiquement dans la romance), mais l'intérêt est ailleurs, dans son atmosphère malsaine. Finalement l'enquête se résume à l'affrontement de ces deux hommes, le tueur et le policier à sa recherche. Et surtout, la mise en scène cette histoire classique sont un prétexte pour explorer la nature humaine de manière viscérale, dans l'expression de ses besoins primaires.

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La plupart des personnages rencontrés sont pour bouffés par des drames personnels, provoquant des comportements nécessairement asociaux, violents. Nous avons le tueur (Edison Chen) qui provient des combats clandestins et qui a appris à obtenir les choses uniquement en tuant, et ayant pour seul objectif de survivre. Le meurtrier parfait. C'est surprenant au début de le voir tuer aussi facilement, sans remords, puis aussitôt de bouffer, comme un animal sans conscience qui répond à ses besoins organiques. Puis nous avons le flic (Sam Lee) à sa poursuite dont le trauma n'est pas tout de suite connu, et sans trop en raconter, explique pourquoi il devient de plus en plus violent, atteignant son paroxysme lorsque tous les êtres qu'il a aimé ou admiré sont morts. Enfin, le tueur rencontre une jeune femme qui a également subi de grands malheurs, et dont il tombe amoureux, un peu comme dans le conte de la Belle et de la bête, lui permettant ainsi d'apprendre son humanité. Au départ, il n'y a pas de héros, et pendant une bonne heure, il est difficile de trancher cette question. Pas de manichéisme ici, ce qui est bien appréciable.

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Il ne s'agit donc pas d'un polar classique, mais plutôt d'un thriller psychologique. La phrase finale m'a d'ailleurs permis de hausser mon appréciation du film, et éclaire totalement ce dernier, à la manière d'une métaphore sur la vie : celle-ci ne vaut rien sans les autres (expliquant le changement de ton entre la première à la seconde partie). C'est pourquoi sans amour (le tueur) ou sans modèle (le policier), les "héros" deviennent comme des bêtes sauvages, se battant avec l'énergie du désespoir. La fin m'a vraiment coupé le souffle, le pessimisme total évité de justesse.


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Un thriller hors-norme doté d'une mise en scène et d'une photographie profondément tourmentées, abritant une mise en abîme du côté obscur de la nature humaine. Un film violent, presque schizophrénique, et à éviter en cas de déprime. Presque un chef-d'oeuvre, dommage pour les ellipses de malade qui rendent l'histoire parfois incohérente.
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Full Contact (1993) - 8/10

Messagepar Dunandan » Mar 08 Mai 2012, 05:13

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Full Contact, Ringo Lam (1993)

Je ne savais pas que j'allais y retrouver le souffle du cinéma d'action américain des années 80 dans un film HK. C'est l'histoire d'un loubard en moto qui distribue des baffes à tout va (CYF) et qui aide un ami (Anthony Wong) qui doit de l'argent à un gang. Ils participent ainsi à un hold-up composé d'un gangster gay (Simon Yam, qui a dû bien s'amuser dans sa relation homo-érotique avec CYF), un gros baraqué, et une nymphomane. Bien sûr, le groupe "gentil" se fait arnaquer, et le mec maladroit de service (Wong) devient leur allié, alors que son ami (CYF) est laissé pour mort. Il s'entraînera pour devenir encore plus fort. Amitié virile, trahison, et vengeance sont donc au programme. Au niveau des personnages c'est collector, tellement iconisés que ça en donne le tournis, avec des séquences d'action survitaminées.

Nous avons donc droit à une bonne série B avec un univers très coloré (le look des personnages est tout droit sorti d'un jeu-vidéo), une bonne musique heavy metal, et une violence (vraiment) décomplexée, avec à peu près tout le monde qui en prend pour leur grade. Otages, femmes, amis, bad guys crèvent sans que leur bourreau s'en soucie (et quand ils survivent, ce n'est pas édulcoré). En outre, la mise en scène n'est pas en reste avec des bons petits effets que je n'ai pas forcément vu ailleurs (comme suivre les balles jusqu'à son destinataire ou les tours d'attrape de Simon Yam couplés à une violence surprenante) et une photographie 80's du plus bel effet.

Bref, une valeur sûre du genre, mais à ne pas tomber entre toutes les mains car c'est du lourd. Doté d'une mise en scène bien burnée, d'une violence décomplexée, et de personnages fortement caractérisés, Full Contact est, derrière le divertissement apparent qu'il nous offre, terriblement sombre en même temps (le destin du quatuor n'est pas jojo, du coup on a du mal pour eux tant ils se tirent entre les pattes). Enfin, le petit truc en plus qui fait la différence, en reprenant la forme du cinéma d'action US des années 80, Ringo Lam en fait aussi la critique acerbe, le tout sans intellectualiser son propos. Il en grossit plutôt les traits à l'extrême (difficile de ne pas voir que chaque perso incarne des archétypes américains exacerbés), à la manière d'un Verhoeven. En un mot, la classe.

Note : 8/10


(Révisé le 18/03/2020)
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Mar 08 Mai 2012, 05:15

Dans mon top 5 polar HK et mon Ringo Lam préféré. Une bombe!
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Mar 08 Mai 2012, 05:18

Moi aussi (hors To) :mrgreen: Il y a moyen que je mette plus la prochaine fois, je me suis un peu endormi de fatigue vers la fin :oops:

Vraiment le genre de film qui me fout la banane :D (mais à ne pas conseiller à Alegas :eheh:)
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Mar 08 Mai 2012, 05:26

Ah bah perso je préfère ce film à n'importe quel Johnnie To ( même si je suis un grand fan de polar HK, To j'aime beaucoup mais y a aucun film qui me tienne vraiment à coeur ( The longest nite hors compète )).

Full contact c'est un peu un idéal de cinéma selon moi.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Mar 08 Mai 2012, 05:46

Au niveau de la pure éclate - coup de coeur, je suis d'accord :wink:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Mar 08 Mai 2012, 05:53

Bah ouais!... 8)

PS : Tu dors jamais? :mrgreen: ( Enfin bon, j'suis bien placé pour te demander ça hein... :mrgreen: )
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Mar 08 Mai 2012, 05:57

Si le matin :mrgreen: enfin dans quelques minutes là ...
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Mar 08 Mai 2012, 06:00

Arf putain moi j'arrive pas à dormir ( hier couché à 1h de l'aprèm... :? )

Moi bon j'aime bien voir le soleil se lever... :D ( c'est beau... :cry: )
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Mar 08 Mai 2012, 06:13

Moi ma femme elle n'aime pas dormir la nuit :?. Bon je vais dormir, on fait l'émission demain :mrgreen:, bonne nuit, enfin bonne journée, je ne sais plus :eheh: !
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Mar 08 Mai 2012, 06:16

Oki! :wink:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Mar 08 Mai 2012, 07:49

Bon faut que je remate Dog Bite Dog qu'il rentre dans le top.
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